Eloge de la vie au ralenti

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Eloge de la vie au ralenti

Suzi Eszterhas / Minden Pictures

Eloge de la vie au ralenti

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Répartis du Mexique au Brésil, les paresseux souffrent des interventions humaines dans leurs forêts. Seules les espèces de la taille d’un petit chien survivent tant bien que mal. Au Papiliorama de Chiètres (FR), on peut en observer une dizaine en captivité.

file70ahteypyoi1k4l5zaf3 — Leur face plate donne aux paresseux un air anthropomorphe et plutôt débonnaire. Mais ils peuvent se fâcher. Neil Bowman / FLPA / Minden Pictures

file70ahtf3ucaazfgtevb — Les aïs sont dotés de trois griffes aux quatre pattes, parfaitement adaptées à leur vie dans les arbres. Les unaus n’en ont que deux aux pattes avant. Roland Seitre / Minden Pictures

file70ahtgpbvqd18cu8wgqt — Cette femelle et son jeune appartiennent à l’espèce d’aïs la plus répandue, celle des paresseux à gorge brune. Le petit paresseux devient autonome avant une année. (c) FLPA - Frank Lane Picture Agency / Hugh Lansdown / Biosphoto

file70ahtfwkzpg15i9vxgsh — Les mâles de l’espèce à gorge brune arborent un joli motif symétrique dans le dos. (c) Minden Pictures / Suzi Eszterhas / Biosphoto

file70ahtglstsz10q9prgrr — Le régime alimentaire des paresseux est exclusivement composé de feuilles, ce qui implique une digestion très lente et une seule – mais massive – défécation hebdomadaire. (c) Minden Pictures / Suzi Eszterhas / Biosphoto

file70ahtfhzppuiz48wgq7 — Le lieu de vie de toutes les espèces de paresseux se situe en hauteur. Les arbres sont le meilleur refuge contre les prédateurs. (c) Suzi Eszterhas / Biosphoto