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Alexander Rieber / EyeEm

Les taïkonautes à l'assaut du cosmos
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Une première! Le 3 janvier, la Chine pose son rover Chang'e 4 sur la face cachée de la Lune. Avec cette opération, l'empire du Milieu affirme sa présence parmi les grands acteurs de la conquête de l'espace, derrière l'américaine NASA et l'Agence Spatiale Européenne (ESA) et parfait son image de producteur de haute technologie. Retour en images sur une histoire somme toute récente.

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Vue du sol lunaire de l'autre côté de la Lune, celle qu'on ne voit jamais depuis la Terre! Lancée le 7 décembre 2018, Chang'e 4 alunit le 3 janvier. Elle est la première sonde chinoise à se poser sur la Lune. La Chine a annoncé son intention d'explorer la Lune sur toutes ses faces et d'y installer d'ici une dizaine d'années une base permanente. China News Service
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Le 27 octobre 2018, la société privée chinoise LandSpace lance le micro-lanceur ZQ-1. Même si le vol se solde par un échec, ce lancement s'inscrit dans une nouvelle répartition des forces en présence entre les agences spatiales institutionnelles et les nouveaux challengers venus du privé comme la société SpaceX lancée par Tesla ou Virgin Galactic du milliardaire américain Richard Branson.  VCG
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Base de Wenchan, province de Hainan en Chine, 20 avril 2017. Des spectateurs filment le lancement de Tianzhou-1, le premier cargo chinois de ravitaillement automatisé qui doit rejoindre la station spatiale chinoise Tiangong-2 pour la réapprovisionner en carburant et autres fournitures. China News Service
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Des techniciens installent un prototype spatial pour sonder la planète Mars à la Foire internationale de l'industrie chinoise le 3 novembre 2014 à Shanghai, en Chine. Au coude à coude avec la NASA, la Chine a annoncé en 2014 qu'elle envisageait de lancer un rover et un orbiteur vers Mars en 2020 pour ramener des échantillons de roche de la planète rouge. VCG
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Resté longtemps en dehors de la conquête spatiale, la Chine est un passe de rattraper le retard au pas de charge. Ici au centre de contrôle aérospatial de Beijing, les scientifiques suivent en direct sur un écran géant l'amarrage entre le vaisseau spatial habité Shenzhou 10 et le laboratoire spatial sans pilote en orbite Tiangong-1 le 13 juin 2013. VCG
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Si les américains ont des astronautes et les russes des cosmonautes, les chinois ont des taïkonautes, littéralement « homme du grand vide ». Voici la taïkonaute, Wang Yaping lors d'un entraînement qui la prépare à monter à bord du vaisseau spatial Shenzhou 10, le 8 mai 2013 à Beijing, en Chine. Pilote militaire de formation, Wang Yaping est le première taïkonaute chinoise à avoir participé à une mission dans l'espace. VCG
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La fusée longue marche 2F transportant l'engin spatial habité Shenzhou 9 décolle du Centre de lancement de satellite de Jiuquan en Chine le 16 juin 2012. A son bord, 3 trois taïkonautes qui vont travailler dans l'espace durant 13 jours.  VCG
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Des soldats assistent au lancement de la troisième mission spatiale habitée le 25 septembre 2008 à Jinan, en Chine. Lors de cette mission, Zhai Zhigang devient le premier taïkonaute faire une "sortie extravéhiculaire". VCG
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Yang Liwei salue les téléspectateurs chinois à bord de Shenzhou 5, premier engin spatial habité de l'empire du Milieu le 16 octobre 2003. Ce voyage autour de la Terre marque véritablement l'entrée de la Chine dans la conquête spatiale. AFP
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