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Maman à 18 ans, la présidente du Parti socialiste vaudois Jessica Jaccoud a dû batailler pour obtenir son brevet d’avocate. Confidences sans langue de bois dans ce nouvel épisode de «Cash ma Queen».
Alessia Barbezat
La présidente du Parti socialiste vaudois Jessica Jaccoud.
Keystone«Tu es avocate, tu as un bon salaire, tu ne devrais pas être dans un parti de droite?» Un peu cliché, non? Pourtant, cette question est encore souvent posée à Jessica Jaccoud, avocate, députée au Grand Conseil et présidente du Parti socialiste vaudois. Si la trentenaire gagne aujourd’hui bien sa vie, il n’en a pas toujours été ainsi.
Maman à 18 ans, elle a dû jongler entre les petits boulots d’étudiante, le gymnase, les couches et l’université. Avec l’aide de sa famille et de l’Etat. Des coups de pouce déterminants qui lui ont permis de prendre l’ascenseur social et ne sont sans doute pas étrangers à son engagement en politique.
Dans cet épisode de «Cash ma Queen», on parle argent et politique avec une jeune femme qui place ses convictions et ses idéaux sociétaux avant ses intérêts personnels. «Si je devais prendre des décisions en fonction de ces derniers, il est probable que je ne voterais pas comme je le fais.»
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