Qu’est-ce qui va bien encore pouvoir nous tomber sur la tête cette année? Le réservoir à espoir semble de plus en plus à sec, au profit de celui de la résignation. Pourtant, à l’heure où la violence, les crises mondiales et écologiques nous laissent dans une impasse avec une sensation d’impuissance, l’astrologie nous renvoie à la nécessité de se connecter à notre propre pouvoir, à notre humanité. Pluton en Verseau, avec ses vibrations extrêmes, nous oblige à réinventer un monde moins narcissique, basé sur davantage de responsabilité et de solidarité. En engageant un dialogue avec les étoiles, avec l’univers, peut-être sortirons-nous de l’étroitesse et de la polarisation de la réalité actuelle.
>> Lire aussi: La numérologie de 2024: un challenge mondial
Les planètes phares
Jupiter:
Jupiter reste en Taureau jusqu’au 26 mai, il heurtera Uranus le 21 avril. Puis il entre dans le signe des Gémeaux, où il révélera encore davantage la nature immature et clownesque de certains dirigeants.
Saturne:
En Poissons toute l’année, elle provoque des épreuves qui nécessitent une réponse collective et solidaire. Ce qui est caché, perverti ou inconscient est révélé.
Uranus:
Uranus perdure en Taureau jusqu’en avril 2026, au profit de l’environnement, du renouvellement des institutions, des valeurs liées au genre et aux relations, mais aussi de l’arrivée en masse de réfugiés climatiques.
Neptune:
Neptune en Poissons fait allusion à la pollution, aux maladies virales, aux carences d’eau comme aux inondations, aux guerres de religion. En positif, il privilégie la décroissance, les arts et la spiritualité.
Pluton:
Pluton en Verseau amène le pire, tel que problèmes énergétiques, cyberattaques, pannes informatiques, menaces nucléaires, poussée du transhumanisme, et le meilleur, comme le retour à une pensée collective, une révolution technologique, un progrès majeur de la médecine, une révolution des dogmes, de la créativité.