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Black is beautiful

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Kwame Brathwaite

Black is beautiful

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Dans les années 1950-60, le photographe afro-américain Kwame Brathwaite s'inscrit dans le mouvement culturel et politique "Black is beautiful" avec ses images qui subliment les membres de sa communauté. Aperture, éditeur multiplateforme dédié à la photographie, publie la première monographie sur ce photographe-clé.

file754oq9ocuwm1kephon70 — Fierté des origines. Brathwaite a été fortement marqué par le militant politique et panafricain Marcus Garvey. Ses photos mettent en avant la fierté des racines africaines. Marcus Garvey Day Parade, Harlem, vers 1967. Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9kcm341m0lc542s — Parure de reine africaine. Carolee Prince, la créatrice de quelques-unes des plus belles parures portées par la chanteuse afro-américaine Nina Simone, porte une des ses créations. African Jazz-Art Society & Studios (AJASS), Harlem, vers 1964. Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9ivuhg16w2b0fta — Vive la nature. En 1962, Kwame Brathwaite fonde avec son frère Elombe Brath, la "Grandassa Models" une agence de mannequins afro-américaines fières de leurs cheveux crépus et leur teint chocolat. Harlem, vers 1966.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9ivv3lhxsxoft6 — Retour aux racines. L'épouse du photographe, Sikolo Brathwaite photographiée à Harlem vers 1968 dans les "African Jazz-Art Society & Studios (AJASS)" une structure collective d'artistes fondée par les frères Brathwaite.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9dj5n9ghvlcjsr — Affirmation culturelle. Des spectacles et défilés nommés "Naturally" mettent en scène la culture africaine, la poésie, l'art et les propres standards de beauté de la communauté afro-américaine. Un modèle "Grandassa" sur la scène du Apollo Theater à Harlem vers 1968.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9bpov7t8pmi4cx — Renaissance. Dans les années 1960, le quartier de Harlem devient un ghetto afro-américain pauvre et violent. Ici, homme fumant dans une salle de bal à Harlem vers 1962.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9c5ohdxqybijsl — Origine revendiquée. Les modèles "Grandassa" posent pour Kwame Brathwaite dans leurs plus beaux imprimés africains dans la Merton Simpson Gallery de New York, haut lieu new-yorkais du commerce d'art premier, vers 1967.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oqa2pygy19l8qmjsi — Clin d'oeil. Priscilla Bardonille, une des modèles de l'agence "Grandassa" fume à la manière d'Audrey Hepburn des années 1920. African Jazz-Art Society & Studios (AJASS), Harlem, vers 1962.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754oq9dytkgkicswft9 — Témoignage. Kwame Brathwaite, dont les parents sont originaires de la Barbade, grandit à Harlem dans une communauté noire issue des tous les coins du monde. Le photographe autodidacte s'engage à en immortaliser la beauté. Autoportrait, Harlem, vers 1964.Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

file754ou4rlszbrmp3ojso — Monographie. Sur la couverture du livre à paraître, l'épouse du photographe, Sikolo Brathwaite porte une parure de tête signée Carolee Prince, African Jazz-Art Society & Studios (AJASS), Harlem, vers 1968. Image tirée de la monographie "Black Is Beautiful" Kwame Brathwaite, Aperture, 2019. Kwame Brathwaite

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