Au boulot en parapente

Vercorin (VS) est l’eldorado du parapente. Chaque jour, une dizaine de passionnés vont travailler dans la vallée en planant. Le photographe Niels Ackermann a tenté de les suivre.

9 Photos
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Le travail à un saut de parapente. Au petit matin sur les hauts de Vercorin, un trio de pendulaires – un menuisier, un biologiste de formation et un comptable – marche pour rejoindre une falaise qui surplombe Sierre.© Niels Ackermann / Lundi13
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Le travail à un saut de parapente. Au petit matin sur les hauts de Vercorin, un trio de pendulaires – un menuisier, un biologiste de formation et un comptable – marche pour rejoindre une falaise qui surplombe Sierre.© Niels Ackermann / Lundi13
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Minutieux travail préparatoire. Néophyte, Antoine Wicky range ses outils à quelques minutes de son envol. Parfois, ils sont plus nombreux à décoller ensemble.© Niels Ackermann / Lundi13
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Minutieux travail préparatoire. Néophyte, Antoine Wicky range ses outils à quelques minutes de son envol. Parfois, ils sont plus nombreux à décoller ensemble.© Niels Ackermann / Lundi13
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Décollage du village. La pente est impressionnante, mais il suffit de trois jours de pratique pour être prêt à faire son premier vol seul. Pour augmenter le plaisir, certains préfèrent s’élancer depuis le sommet du domaine skiable, au Crêt-du-Midi. Pour remonter, pendulaires et amateurs de parapente utilisent le téléphérique au départ de Chalais.© Niels Ackermann / Lundi13
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Décollage du village. La pente est impressionnante, mais il suffit de trois jours de pratique pour être prêt à faire son premier vol seul. Pour augmenter le plaisir, certains préfèrent s’élancer depuis le sommet du domaine skiable, au Crêt-du-Midi. Pour remonter, pendulaires et amateurs de parapente utilisent le téléphérique au départ de Chalais.© Niels Ackermann / Lundi13
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A l’arrivée, on plie. Après cinq minutes de vol, Laurent Borella, responsable exécutif du Techno-Pôle à Sierre – un centre consacré à la digitalisation des services – atterrit à deux pas du bâtiment. En 2004, il a quitté Genève pour s’installer à Vercorin et s’adonner à son sport favori. Il détient le record local de vols. Depuis le début de l’année, et ce pour des raisons météorologiques, il n’a manqué que cinq occasions d’aller travailler par la voie des airs.© Niels Ackermann / Lundi13
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A l’arrivée, on plie. Après cinq minutes de vol, Laurent Borella, responsable exécutif du Techno-Pôle à Sierre – un centre consacré à la digitalisation des services – atterrit à deux pas du bâtiment. En 2004, il a quitté Genève pour s’installer à Vercorin et s’adonner à son sport favori. Il détient le record local de vols. Depuis le début de l’année, et ce pour des raisons météorologiques, il n’a manqué que cinq occasions d’aller travailler par la voie des airs.© Niels Ackermann / Lundi13
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Atterrissage dans les temps. Laurent Borella, responsable exécutif, arrive à l'heure au Techno-Pôle à Sierre, après son trajet en parapente.© Niels Ackermann / Lundi13
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Atterrissage dans les temps. Laurent Borella, responsable exécutif, arrive à l'heure au Techno-Pôle à Sierre, après son trajet en parapente.© Niels Ackermann / Lundi13
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Jamais sans mon chien! Pour la 150e fois, Maya, boxer de 6 ans, s’envole avec bonheur, suspendue sous sa maîtresse, l’ambulancière Marie Glassey. Maya a bénéficié d’un entraînement digne de n’importe quel parapentiste.© Niels Ackermann / Lundi13
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Jamais sans mon chien! Pour la 150e fois, Maya, boxer de 6 ans, s’envole avec bonheur, suspendue sous sa maîtresse, l’ambulancière Marie Glassey. Maya a bénéficié d’un entraînement digne de n’importe quel parapentiste.© Niels Ackermann / Lundi13
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Ça plane pour eux. C’est l’adrénaline qui rassemble les Vercorinards de tous horizons, dont Maya la chienne qui est d’un calme olympien avant de s’envoler. © Niels Ackermann / Lundi13
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Ça plane pour eux. C’est l’adrénaline qui rassemble les Vercorinards de tous horizons, dont Maya la chienne qui est d’un calme olympien avant de s’envoler. © Niels Ackermann / Lundi13
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La passion crée des liens. La plupart de ces «pendulaires volants» ne sont pas des autochtones. «Ce n’est pas compliqué de s’intégrer dans le coin, parce que les gens viennent de partout grâce au parapente», dit Laurent Borella.© Niels Ackermann / Lundi13
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La passion crée des liens. La plupart de ces «pendulaires volants» ne sont pas des autochtones. «Ce n’est pas compliqué de s’intégrer dans le coin, parce que les gens viennent de partout grâce au parapente», dit Laurent Borella.© Niels Ackermann / Lundi13
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Planante beauté. Magnifique vue des pendulaires volants de Vercorin.© Niels Ackermann / Lundi13
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Planante beauté. Magnifique vue des pendulaires volants de Vercorin.© Niels Ackermann / Lundi13