A Saignelégier (JU), depuis 28 ans, les chiens de traîneaux ont rendez-vous durant le dernier week-end de janvier pour se mesurer à la course avec attelage. Le plateau des Franches-Montagnes accueille alors hommes et animaux durant deux jours.
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Dimanche matin à Saignelégier, les chiens flairent le départ et, très excités, aboient à gorge déployée. Ils sont attachés à une chaîne. Les huskies adorent être dehors et de préférence au froid, leur élément naturel. Julie de Tribolet
Dimanche matin à Saignelégier, les chiens flairent le départ et, très excités, aboient à gorge déployée. Ils sont attachés à une chaîne. Les huskies adorent être dehors et de préférence au froid, leur élément naturel. Julie de Tribolet
L'attelage du Valaisan de Mase, Jo Beytrison, en pleine course dans la forêt. Ses joyeux samoyèdes portent des chaussons de protection contre le froid. Plume, à gauche, arbore le rose des femelles, et Tigrou le vert. Cent vingt attelages ont participé à cette 28e édition, totalisant 800 chiens.Julie de Tribolet
L'attelage du Valaisan de Mase, Jo Beytrison, en pleine course dans la forêt. Ses joyeux samoyèdes portent des chaussons de protection contre le froid. Plume, à gauche, arbore le rose des femelles, et Tigrou le vert. Cent vingt attelages ont participé à cette 28e édition, totalisant 800 chiens.Julie de Tribolet
Tigrou, petit samoyède mâle de Jo Beytrison, arbore ses chaussons verts, qui le protègeront en cas de froid et de blessure également. Encore attaché à sa chaîne, il attend le moment de l'attelage.Julie de Tribolet
Tigrou, petit samoyède mâle de Jo Beytrison, arbore ses chaussons verts, qui le protègeront en cas de froid et de blessure également. Encore attaché à sa chaîne, il attend le moment de l'attelage.Julie de Tribolet
Cet attelage arrive en fin du parcours de 35 kilomètres, de vrais athlètes! Ils occupent chacun une place précise: les chiens de tête, forts en caractère, impriment le rythme et la direction. Au milieu, les suiveurs. Et directement devant le traineau, les chiens les plus costauds, qui apportent de la force.Julie de Tribolet
Cet attelage arrive en fin du parcours de 35 kilomètres, de vrais athlètes! Ils occupent chacun une place précise: les chiens de tête, forts en caractère, impriment le rythme et la direction. Au milieu, les suiveurs. Et directement devant le traineau, les chiens les plus costauds, qui apportent de la force.Julie de Tribolet
Le musher Raphaël Perrin, venu avec des groenlandais et des malamutes de la région de Belfort, porte un de ses chiens afin de l'installer dans le casier qu'il lui a attribué. Les chiens dorment dans le camion, sauf un ou deux qu'il choisit pour dormir en sa compagnie dans la caravane.Julie de Tribolet
Le musher Raphaël Perrin, venu avec des groenlandais et des malamutes de la région de Belfort, porte un de ses chiens afin de l'installer dans le casier qu'il lui a attribué. Les chiens dorment dans le camion, sauf un ou deux qu'il choisit pour dormir en sa compagnie dans la caravane.Julie de Tribolet
Préparation des écuelles à la frontale pour le repas du soir. Les huskies boivent peu, se nourrissent de croquettes sélectionnées parfois additionnées de viande rouge, d'abats de chasse, afin de répondre à leurs besoins spécifiques en protéines et en lipides, légèrement plus élevés que chez les autres races.Julie de Tribolet
Préparation des écuelles à la frontale pour le repas du soir. Les huskies boivent peu, se nourrissent de croquettes sélectionnées parfois additionnées de viande rouge, d'abats de chasse, afin de répondre à leurs besoins spécifiques en protéines et en lipides, légèrement plus élevés que chez les autres races.Julie de Tribolet