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Le dernier tour de Jean-Pierre Marielle

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Le dernier tour de Jean-Pierre Marielle

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L'homme aux 100 films Jean-Pierre Marielle est décédé mercredi 24 avril, à l'âge de 87 ans. Celui qui aurait pu se nommer Mariolle aimait faire le pitre, mais savait tout jouer. Retour en images sur la carrière d'un grand discret à la gouaille ravageuse.

file752ngkcygyvv2s3d77c — La belle brochette. Ils sont tous candidats pour le Conservatoire national supérieur d'art dramatique à Paris en 1954: Jean-Pierre Marielle, Françoise Fabian, Jean-Paul Belmondo, Pierre Vernier et Pierre Hatet (de g. à dr.). Lipnitzki

file752ngkwkag018wxjn77c — Chevalier de télévision. Marielle joue Philippe le Bel, roi de France au temps des Templiers, dans une série historique réalisée par Stellio Lorenzi pour la télévision en 1961. Ina

file752ngkeufckt791l776 — De l'eau dans le gaz. En 1962, Marielle joue dans «Climats» un mari jaloux, ici avec Odile, sa femme à l'écran incarnée par Marina Vlady. Alain Adler

file752ngkzgryxmhtto777 — A la vie, à la mort. Jean Rochefort and Jean-Pierre Marielle se rencontrent au Conservatoire, deviennent amis pour la vie et adoptent la moustache un peu plus tard. Ici à la radio France Inter en 1963. Ina

file752ngkjceud10lfcsk2u — Gaudriole. Jean-Pierre Marielle participe à de nombreux films humoristiques et français dont en 1965 «Cent Briques et des Tuiles», une rigolade de gangsters avec Marie Laforêt. Ina

file752nglcsoko9fyyghky — Sérieux s'abstenir. Une famille d'aristocrates fauchés (Yves Montand entouré de Maria Schell, Marthe Keller, Tanya Lopert, Madeleine Renaud, Jean-Pierre Marielle et Jean Rochefort) s'amuse à séquestrer les rares clients de leur château dans «Le Diable par la queue» de Philippe de Broca sorti en 1969. Sunset Boulevard

file752ngkd29j718goac777 — Fidélité. Jean-Pierre Marielle travaille «en famille» et reste fidèle à quelques réalisateurs fétiches dont Claude Berri pour lequel il joue dans «Le Pistonné» (1970), «Sex-shop» (1972), «Uranus» (1990) et «Un moment d’égarement» (1997). Ici avec Guy Bedos en 1970. Keystone-France

file752ngksbx1fglrf9jsi — Cycliste. Amateur de vélo, Jean-Pierre Marielle remonte ou démonte sa petite reine devant sa maison à Boulogne-Billancourt pour un reportage dans Paris Match en août 1977. DEUTSCH Jean-Claude

file752ngkreco31gn7ckjsr — Ironie et deuxième degré. Les inspecteurs Pignon (Jean-Pierre Marielle) et Melville (Jean Carmet) mènent l'enquête en 1977 dans «Plus ça va, moins ça va», la satire de Michel Vianey. DEUTSCH Jean-Claude

file752njd8itkg1lli7yjso — Duo de choc. En 1989, le duo Jean-Pierre Marielle et Jean Carmet se retrouvent pour «Bouvard et Pécuchet», une adaptation télévisuelle du roman de Gustave Flaubert et une histoire d'amitié, de rêve et de philosophie. Jacques PRAYER

file752ngkug95zag9ca77a — Le fils. La vie privée de Jean-Pierre Marielle est restée très privée. Une des rares images le montre en 1991 avec son fils François-Arthur né en 1980, ici à la cérémonie de la Légion d'honneur remise à son ami Jean-Paul Belmondo. Bertrand Rindoff Petroff

file752ngkwdhd5kf9t7776 — La vie de bande. Jean Rochefort en Eddie Carpentier (g.), Philippe Noiret en Victor Vialat et Jean-Pierre Marielle en Georges Cox (dr.), jouent des comédiens au chômage dans «Les Grands Ducs» réalisé par Patrice Leconte, sorti en 1996. Micheline Pelletier Decaux

file752ngkld64i1n5vbon86 — Toute un époque. Bernard Giraudeau, Jean-Paul Belmondo, Philippe Noiret, Jean Rochefort et Jean-Pierre Marielle (de g. à dr.) lors de la présentation de la pièce de théâtre «Les Côtelettes» de Bertrand Blier, en 1997 à Paris. Bertrand Rindoff Petroff

file752ngkrifbs14l74ojso — La femme de sa vie. Jean-Pierre Marielle épouse l'actrice Agathe Natanson en 2003. Elle est sa 4e épouse et celle avec qui il partage les planches dans la pièce «Les mots et la chose» au festival de Ramatuelle en 2007. Bertrand Rindoff Petroff

file752ngkwfsw31md346jsl — Complices. Ils se sont connus au Conservatoire et très vite les deux compères, Marielle et Belmondo, amusent la galerie des copains avec leurs blagues et pitreries en tous genres. Ici en 2015 aux 5 ans du Musée Paul-Belmondo, à Boulogne-Billancourt. Bertrand Rindoff Petroff

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