Reportage en Moldavie

Gagaouzie et Transnistrie, deux pays qui n'existent pas

Découvrez en images la Transnistrie, région séparatiste pro-russe, et la Gagaouzie, région autonome turcophone. Si depuis quelques semaines, la Transnistrie concentre soudainement une partie des inquiétudes de certains Occidentaux, sur place, c'est le calme plat.

15 Photos
Transnistrie

L’étoile de Sheriff brille sur les supermarchés, les stations-services et les maillots de foot. En Transnistrie, 80% des personnes employées travaillent pour le puissant conglomérat.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

L’étoile de Sheriff brille sur les supermarchés, les stations-services et les maillots de foot. En Transnistrie, 80% des personnes employées travaillent pour le puissant conglomérat.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Tiraspol. Les athlètes attendent la remise des prix de la course d’estafette. Si les drapeaux olympique et transnistrien flottent, la Russie n’est jamais très loin.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Tiraspol. Les athlètes attendent la remise des prix de la course d’estafette. Si les drapeaux olympique et transnistrien flottent, la Russie n’est jamais très loin.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

En 1990, peu avant la dislocation de l’URSS, la Moldavie déclare son indépendance et adopte le roumain comme langue officielle. Les minorités régionales du pays se cabrent. La Transnistrie, russophone, et la Gagaouzie, turcophone, proclament unilatéralement leur indépendance. Une guerre civile éclate en 1992 entre les forces moldaves et les séparatistes transnistriens soutenus par la 14e armée russe. Après quatre mois de conflits et un millier de morts, un cessez-le-feu est signé et un statut politique spécial d’autonomie étendue est octroyé à la Transnistrie. La Gagaouzie renonce à son indépendance. En échange, le parlement moldave reconnaît officiellement l’autonomie de la région en 1994.

DR
Transnistrie

En 1990, peu avant la dislocation de l’URSS, la Moldavie déclare son indépendance et adopte le roumain comme langue officielle. Les minorités régionales du pays se cabrent. La Transnistrie, russophone, et la Gagaouzie, turcophone, proclament unilatéralement leur indépendance. Une guerre civile éclate en 1992 entre les forces moldaves et les séparatistes transnistriens soutenus par la 14e armée russe. Après quatre mois de conflits et un millier de morts, un cessez-le-feu est signé et un statut politique spécial d’autonomie étendue est octroyé à la Transnistrie. La Gagaouzie renonce à son indépendance. En échange, le parlement moldave reconnaît officiellement l’autonomie de la région en 1994.

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Transnistrie

Angelina, webdesigner et assistante sociale de 25 ans. Elle pose sur la scène des célébrations du 12 avril, commémorant la victoire de l’Armée rouge sur l’Allemagne nazie.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Angelina, webdesigner et assistante sociale de 25 ans. Elle pose sur la scène des célébrations du 12 avril, commémorant la victoire de l’Armée rouge sur l’Allemagne nazie.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Natasha, 16 ans, et Lena, 17 ans. Les deux jeunes femmes étudient au lycée   des métiers industriels de Tiraspol avec l’assurance de trouver un emploi à la sortie de l’école. La Transnistrie peine à recruter de la main-d’œuvre. Sans perspective d’avenir, les jeunes quittent le pays.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Natasha, 16 ans, et Lena, 17 ans. Les deux jeunes femmes étudient au lycée   des métiers industriels de Tiraspol avec l’assurance de trouver un emploi à la sortie de l’école. La Transnistrie peine à recruter de la main-d’œuvre. Sans perspective d’avenir, les jeunes quittent le pays.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Antonina, 27 ans, actrice de théâtre, dans la cuisine de son appartement situé en banlieue de Tiraspol. Le matin même, elle interprétait Cendrillon dans une pièce pour enfants.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Antonina, 27 ans, actrice de théâtre, dans la cuisine de son appartement situé en banlieue de Tiraspol. Le matin même, elle interprétait Cendrillon dans une pièce pour enfants.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

L’avenue du 25-Octobre regorge de vestiges soviétiques. Devant le siège du parlement, un bâtiment à l’architecture stalinienne, se dresse cette immense statue de Lénine, perchée sur une colonne en pierre rose de 10 mètres de hauteur.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

L’avenue du 25-Octobre regorge de vestiges soviétiques. Devant le siège du parlement, un bâtiment à l’architecture stalinienne, se dresse cette immense statue de Lénine, perchée sur une colonne en pierre rose de 10 mètres de hauteur.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Fresque murale du cosmonaute Youri Gagarine, premier homme à avoir voyagé dans l’espace, en 1961. Un exploit considéré comme un symbole du pouvoir de l’URSS.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Fresque murale du cosmonaute Youri Gagarine, premier homme à avoir voyagé dans l’espace, en 1961. Un exploit considéré comme un symbole du pouvoir de l’URSS.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Dans une librairie de Tiraspol, en échange de quelques roubles transnistriens, le chaland peut acheter les portraits de Vadim Krasnoselsky, de Vladimir Poutine ou de Joseph Staline.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Transnistrie

Dans une librairie de Tiraspol, en échange de quelques roubles transnistriens, le chaland peut acheter les portraits de Vadim Krasnoselsky, de Vladimir Poutine ou de Joseph Staline.

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Gagaouzie

En Gagaouzie, les statues du «camarade» Lénine et le souvenir de l’URSS sont encore bien présents. Un exemple? Cette version clinquante posée sur un piédestal, érigée dans les rues de Ceadîr-Lunga, deuxième ville de Gagaouzie, 20 000 habitants.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

En Gagaouzie, les statues du «camarade» Lénine et le souvenir de l’URSS sont encore bien présents. Un exemple? Cette version clinquante posée sur un piédestal, érigée dans les rues de Ceadîr-Lunga, deuxième ville de Gagaouzie, 20 000 habitants.

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Gagaouzie

Konstantin Keles, figure locale, peintre et éleveur de trotteurs Orlov, une race de purs-sangs russes. Son haras, situé à quelques kilomètres de Ceadîr-Lunga, en Moldavie, appartient à sa famille depuis quatre générations.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

Konstantin Keles, figure locale, peintre et éleveur de trotteurs Orlov, une race de purs-sangs russes. Son haras, situé à quelques kilomètres de Ceadîr-Lunga, en Moldavie, appartient à sa famille depuis quatre générations.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

Konstantin Keles dans son ranch.

 

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

Konstantin Keles dans son ranch.

 

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

La route en Gagaouzie.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

La route en Gagaouzie.

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Gagaouzie

Ambiance au marché de Comrat, capitale de la Gagaouzie.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

Ambiance au marché de Comrat, capitale de la Gagaouzie.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

La professeur de peinture aux Beaux-Art de Ceadîr-Lunga.

Nicolas Righetti/ Lundi13
Gagaouzie

La professeur de peinture aux Beaux-Art de Ceadîr-Lunga.

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