Des jumeaux nouveau-nés dans les sous-sols d’un hôpital pédiatrique du centre-ville de Kiev. C’était quatre jours après le début de l’invasion.
keystone-sda.chUn soldat ukrainien porte un nouveau-né, le 3 mars dernier, dans les faubourgs de Kiev, pour aider les parents lourdement chargés. Mais il devient toujours plus dangereux de fuir la capitale.
Timothy Fadek/Redux/laifLe 11 mars, dans un hôpital de Marioupol, Anastasia Erashova pleure la mort d’un de ses deux enfants, tout en tenant l’autre dans ses bras.
keystone-sda.chKsenia (à g.), 4 ans, arrive à Medyka, en Pologne, le 8 mars dernier, en provenance d’Irpin. Frigorifiés, les petits réfugiés sont enveloppés par les bénévoles dans des couvertures de survie.
ERIN SCHAFF/The New York Times/RVarvara, 7 ans, a été gravement blessée aux jambes par l’artillerie russe en fuyant Irpin avec sa mère, elle aussi blessée.
Anadolu Agency via Getty ImagesLa même scène qui se répète toujours plus souvent, faute de couloir humanitaire. Des civils, dont de nombreux enfants, qui risquent leur vie en tentant simplement de quitter les villes assiégées.
DRUn policier ukrainien escorte une enfant dans un faubourg de Kiev alors que résonne l’artillerie à proximité.
keystone-sda.chQuelles pensées traversent l’esprit de cette fillette de Kiev qui attendait, il y a une semaine à la gare centrale, de pouvoir monter dans un train?
Eric Bouvet / VII / Redux