John Howe adore les endroits dans la nature un peu secrets. Ou alors le matin, avant que les touristes n’arrivent. Il trouve dans la nature une matière inépuisable d’inspiration. Ici à la roche de l’Ermitage, au-dessus de Neuchâtel.
Julie de TriboletSouvent considéré comme le messie du fantastique ou de l’«heroic fantasy», ce fin connaisseur de l’univers de Tolkien n’a pas fini, assure-t-il, d’explorer la Terre du Milieu.
Julie de TriboletUne scène de tournage avec les acteurs Morfydd Clark et Charlie Vickers.
Amazon Studios/AP/KeystoneLes possibilités techniques qu’offre le numérique ont encore évolué depuis la première trilogie, mais c’est toujours avec une page blanche et un crayon que naît à l’origine tout l’univers visuel de la série.
Julie de TriboletJohn Howe à l’occasion du lancement de la série en première mondiale à Londres, le 30 août dernier. «Les anneaux de pouvoir» sont bien sûr l’événement de la rentrée, une série annoncée déjà comme la plus chère de l’histoire avec un budget de plus de 1 milliard de dollars.
Jeff Spicer/Getty Images for Pri«Le grand bonheur avec la Terre du Milieu, c’est que Tolkien écrit en images», John Howe, Illustrateur.
DRTrois acteurs qui incarnent des elfes dans l'univers de la série «Les anneaux de pouvoir».
Amazon Studios/AP/KeystoneL’artiste dans son atelier neuchâtelois en 2020.
Jean-Christophe Bott/KeystoneAvec Alan Lee, l’autre grand illustrateur avec qui il a collaboré sur les deux trilogies de Peter Jackson.
DRLe dessin pour la série d’un château le long de la côte.
Amazon StudiosJohn Howe aime notamment dessiner des armes. Il a d’ailleurs longtemps pratiqué l’escrime médiévale avec son fils Dana et il garde toujours précieusement chez lui sa collection d’épées.
IllustréJohn Howe en tenue de chevalier. L’illustrateur a un physique qui lui aurait permis de jouer dans les films qu’il illustre.
SIPar le passé, cette star de l’illustration a même travaillé pour «L’illustré» pendant trois ans. Il en garde un bon souvenir. Le succès ne lui est jamais monté à la tête. Il a choisi ce métier parce que les mots lui manquaient pour traduire ses émotions.
Julie de Tribolet