Merveilles du monde

Le polatouche de Sibérie: un as du volant

C’est l’un des animaux les plus mignons du monde, mais aussi l’un des plus difficiles à photographier. Pour la première fois, grâce à un concours de circonstances tout à fait étonnant, un photographe japonais, Tony Wu, est parvenu à s’approcher de cet écureuil volant méconnu à la discrétion légendaire.

11 Photos
écureuil volant

L’écureuil volant décolle toujours d’un tronc, jamais d’une branche, de même lorsqu’il atterrit. Sa queue lui permet de garder l’équilibre et d’ajuster sa trajectoire durant son vol. Elle sert également au freinage dans les derniers instants avant d’atteindre son objectif. Une fois posé, il regagne rapidement son nid ou se tapit dans les branches pour passer inaperçu.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

L’écureuil volant décolle toujours d’un tronc, jamais d’une branche, de même lorsqu’il atterrit. Sa queue lui permet de garder l’équilibre et d’ajuster sa trajectoire durant son vol. Elle sert également au freinage dans les derniers instants avant d’atteindre son objectif. Une fois posé, il regagne rapidement son nid ou se tapit dans les branches pour passer inaperçu.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Cette image, composée de 13 photos distinctes, montre une séquence d’atterrissage. L’écureuil s’est d’abord élancé d’un arbre élevé, puis il a plané sur plusieurs dizaines de mètres. Dans ce montage, il remonte à l’approche de son but, ce qui réduit sa vitesse. Pour obtenir ces photos, le photographe a d’abord dû apprendre à prédire et à suivre les trajectoires de vol. Il a finalement pu s’approcher à seulement 3 mètres de l’animal.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Cette image, composée de 13 photos distinctes, montre une séquence d’atterrissage. L’écureuil s’est d’abord élancé d’un arbre élevé, puis il a plané sur plusieurs dizaines de mètres. Dans ce montage, il remonte à l’approche de son but, ce qui réduit sa vitesse. Pour obtenir ces photos, le photographe a d’abord dû apprendre à prédire et à suivre les trajectoires de vol. Il a finalement pu s’approcher à seulement 3 mètres de l’animal.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Au lancement, ses pattes se détendent comme un ressort. Ses ailes restent d’abord repliées. Cette position maximise l’accélération initiale. Elles sont ensuite ouvertes pour permettre un vol plané horizontal et fluide qui peut atteindre de 30 à 35 km/h.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Au lancement, ses pattes se détendent comme un ressort. Ses ailes restent d’abord repliées. Cette position maximise l’accélération initiale. Elles sont ensuite ouvertes pour permettre un vol plané horizontal et fluide qui peut atteindre de 30 à 35 km/h.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

L’écureuil ne peut pas se propulser comme un oiseau au cours du vol, mais il peut changer de direction rapidement pour contourner des branches ou échapper à un prédateur.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

L’écureuil ne peut pas se propulser comme un oiseau au cours du vol, mais il peut changer de direction rapidement pour contourner des branches ou échapper à un prédateur.

Tony Wu / NaturePL
Un couple d'écureuils volants

Ce couple d’écureuils est sorti de son nid pour se nourrir, prenant un moment pour profiter de la dernière lumière du soir. Peu de temps après, l’un des écureuils a été enlevé par un prédateur, un autour des palombes.

Tony Wu / NaturePL
Un couple d'écureuils volants

Ce couple d’écureuils est sorti de son nid pour se nourrir, prenant un moment pour profiter de la dernière lumière du soir. Peu de temps après, l’un des écureuils a été enlevé par un prédateur, un autour des palombes.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

En plein vol, l’écureuil volant de Sibérie se déploie pour prendre la forme d’une voile carrée. Seules dépassent sa tête et sa queue, dont il se sert comme gouvernail. Les mouvements de ses pattes lui permettent de se diriger et d’ajuster sa vitesse. Ainsi lancé, il peut parcourir une distance allant jusqu’à 50 mètres. A part ses «ailes», le reste de son physique ressemble en tout point à celui de ses cousins terrestres.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

En plein vol, l’écureuil volant de Sibérie se déploie pour prendre la forme d’une voile carrée. Seules dépassent sa tête et sa queue, dont il se sert comme gouvernail. Les mouvements de ses pattes lui permettent de se diriger et d’ajuster sa vitesse. Ainsi lancé, il peut parcourir une distance allant jusqu’à 50 mètres. A part ses «ailes», le reste de son physique ressemble en tout point à celui de ses cousins terrestres.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Les écureuils volants d’Ezo vivent dans les forêts des plaines et des régions montagneuses de Hokkaido. Ils construisent leurs nids dans des trous d’arbres creusés par des pics ou des champignons, ou dans des cavités créées par des fissures de gel. En hiver, ils préfèrent les cavités les plus profondes pour se maintenir à l’abri du gel. Trois à cinq individus peuvent partager un seul nid en se réchauffant mutuellement. Les nids sont tapissés de mousse sèche et d’autres matières végétales finement broyées.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Les écureuils volants d’Ezo vivent dans les forêts des plaines et des régions montagneuses de Hokkaido. Ils construisent leurs nids dans des trous d’arbres creusés par des pics ou des champignons, ou dans des cavités créées par des fissures de gel. En hiver, ils préfèrent les cavités les plus profondes pour se maintenir à l’abri du gel. Trois à cinq individus peuvent partager un seul nid en se réchauffant mutuellement. Les nids sont tapissés de mousse sèche et d’autres matières végétales finement broyées.

Tony Wu / NaturePL
écureuils volants

Le nombre d’individus dans un même nid varie avec le temps. Le nid de cet arbre abrite quatre écureuils. Ils sortent généralement seuls ou à deux, peut-être pour diminuer le risque de prédation. Ce jour-là, les quatre sont sortis en même temps. Ils sont restés ensemble quinze à vingt secondes, puis ont décollé dans des directions différentes.

Tony Wu / NaturePL
écureuils volants

Le nombre d’individus dans un même nid varie avec le temps. Le nid de cet arbre abrite quatre écureuils. Ils sortent généralement seuls ou à deux, peut-être pour diminuer le risque de prédation. Ce jour-là, les quatre sont sortis en même temps. Ils sont restés ensemble quinze à vingt secondes, puis ont décollé dans des directions différentes.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Les branches de sapin de Sakhaline fournissent de quoi tenir pendant l’hiver, lorsque les baies, les noix et les glands ont disparu. Durant la saison froide, les écureuils s’hydratent en mangeant de la neige.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Les branches de sapin de Sakhaline fournissent de quoi tenir pendant l’hiver, lorsque les baies, les noix et les glands ont disparu. Durant la saison froide, les écureuils s’hydratent en mangeant de la neige.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Des yeux surdimensionnés permettent aux écureuils volants de voir durant les heures crépusculaires et nocturnes, lorsqu’ils sont le plus actifs. Leurs grandes oreilles sont toujours en alerte pour repérer les prédateurs. Leur physionomie douce, presque souriante, en a fait le symbole de la gentillesse au Japon.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Des yeux surdimensionnés permettent aux écureuils volants de voir durant les heures crépusculaires et nocturnes, lorsqu’ils sont le plus actifs. Leurs grandes oreilles sont toujours en alerte pour repérer les prédateurs. Leur physionomie douce, presque souriante, en a fait le symbole de la gentillesse au Japon.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Les écureuils volants passent la plupart de leur temps au sommet des arbres, loin du sol. Comme leur pelage les rend invisibles sur les troncs, il n’y a qu’en vol qu’il est possible de les repérer plus facilement. Celui-ci a le ventre bien rebondi: il rentre dans son nid après une fructueuse collecte de nourriture.

Tony Wu / NaturePL
écureuil volant

Les écureuils volants passent la plupart de leur temps au sommet des arbres, loin du sol. Comme leur pelage les rend invisibles sur les troncs, il n’y a qu’en vol qu’il est possible de les repérer plus facilement. Celui-ci a le ventre bien rebondi: il rentre dans son nid après une fructueuse collecte de nourriture.

Tony Wu / NaturePL