Le glacier du Rhône, source du fleuve. Il s’étend sur 8 km et atteint une largeur d’un peu plus de 1000 m, pour une superficie de 17 km2. La langue glaciaire se termine à une altitude d’environ 2250 m et donne naissance à un torrent qui deviendra le Rhône. Avec le réchauffement climatique, la fonte s’accélère et de petits lacs supra-glaciaires apparaissent à la surface du glacier.
MOIRENC CamilleDans le parc naturel régional des Saintes-Maries-de-la-Mer, le Petit-Rhône fait un ultime détour avant de se jeter dans la Méditerranée, à 812 kilomètres de sa source. De sa source jusqu’au delta de Camargue, le Rhône relie deux mondes. Trait d’union entre la Méditerranée et l’Europe du Nord, il a structuré les territoires et les cultures européennes bien au-delà de ses rives.
MOIRENC CamilleAvec le Mont-Blanc en arrière-plan, le Rhône s’écoule paisiblement dans le parc Miribel Jonage, dans la région lyonnaise. Cette zone a été aménagée au XIXe siècle afin de maîtriser le fleuve qui se dispersait alors dans de multiples ramifications.
MOIRENC CamilleLes eaux et les terres se mélangent. Des drapés d’algues affleurent à la surface du cours d’eau, en aval du barrage de Rochemaure, dans l’Ardèche, construit en 1958. Il retient 46 000 milliers de m3 d’eau sur une surface de 800 hectares, afin de permettre la navigation et l’exploitation hydroélectrique.
MOIRENC CamilleSur cette photographie, les eaux et les terres se mélangent. Des drapés d’algues affleurent à la surface du cours d’eau, en aval du barrage de Rochemaure, dans l’Ardèche, construit en 1958. Il retient 46 000 milliers de m 3 d’eau sur une surface de 800 hectares, afin de permettre la navigation et l’exploitation hydroélectrique.
MOIRENC CamilleL’île de Printegarde, à La Voulte-sur-Rhône, aux frontières de la Drôme. Cette île est classée en zone naturelle d’intérêt écologique pour sa flore et sa faune: grèbes huppés, colverts, milans noirs, castors et ragondins.
MOIRENC CamilleL’embouchure du Rhône, à l’endroit où il se jette dans le Léman. Les eaux grises du fleuve, chargées d’alluvions, se dispersent dans les eaux bleues du lac. Le Léman reçoit 8,3 millions de tonnes d’alluvions par an, dont 6,1 proviennent du Rhône. Une grande partie est exploitée sous forme de gravier pour la construction.
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