Le SailGP en images
Reportage à Tarente, dans les Pouilles, sur le jeune championnat du monde de formule 1 des mers.
Le barreur Sébastien Schneiter et son équipage se battent comme des diables pour conserver leur catamaran hors de l’eau.
Bob Martin/SailGP
Le barreur Sébastien Schneiter et son équipage se battent comme des diables pour conserver leur catamaran hors de l’eau.
Bob Martin/SailGP
Dans le championnat SailGP, l’équipage de six marins doit comprendre une femme. Laurane Mettraux est en train de se harnacher avant la course avec l’aide d’un membre du team.
Philippe Clot
Dans le championnat SailGP, l’équipage de six marins doit comprendre une femme. Laurane Mettraux est en train de se harnacher avant la course avec l’aide d’un membre du team.
Philippe Clot
Le bateau suisse aux avant-postes au début d’une des six manches de l’étape italienne de SailGP il y a trois semaines. Mais la jeune équipe helvétique a encore tendance à perdre des places au fil de la régate. Le F50 est un bateau si complexe à manœuvrer qu’il faut engranger de l’expérience avant de rivaliser avec les concurrents qui en sont déjà à leur quatrième saison.
Felix Diemer/SailGP
Le bateau suisse aux avant-postes au début d’une des six manches de l’étape italienne de SailGP il y a trois semaines. Mais la jeune équipe helvétique a encore tendance à perdre des places au fil de la régate. Le F50 est un bateau si complexe à manœuvrer qu’il faut engranger de l’expérience avant de rivaliser avec les concurrents qui en sont déjà à leur quatrième saison.
Felix Diemer/SailGP
Un clin d’œil folklorique dans la base suisse: une cloche d’alpage permet de sonner l’heure des briefings.
Philippe Clot
Un clin d’œil folklorique dans la base suisse: une cloche d’alpage permet de sonner l’heure des briefings.
Philippe Clot
Après la journée d’essais sur le plan d’eau avant le week-end de course, une bonne raclette permet de reprendre des forces.
Philippe Clot
Après la journée d’essais sur le plan d’eau avant le week-end de course, une bonne raclette permet de reprendre des forces.
Philippe Clot
Le F50 suisse en pleine action à Tarente il y a trois semaines. Une fusée de 15 m de long et de 9 m de large, perchée sur des foils, qui peut s’approcher des 100 km/h par gros vents.
Ricardo Pinto/SailGP
Le F50 suisse en pleine action à Tarente il y a trois semaines. Une fusée de 15 m de long et de 9 m de large, perchée sur des foils, qui peut s’approcher des 100 km/h par gros vents.
Ricardo Pinto/SailGP