Ce flamant s’ébroue dans les eaux saumâtres des salins pour se nettoyer et éliminer d’éventuels parasites. Il doit au carotène, un pigment contenu dans son alimentation, sa couleur rose, qui tranche avec ses yeux jaune vif.
Thierry Vezon / NaturagencyDeux flamants roses se nourrissent dans les eaux du parc naturel régional de Camargue. Le delta du Rhône accueille ces échassiers en toute saison, mais l’hiver est la période idéale pour les observer et admirer leur parade nuptiale.
Thierry Vezon / NaturagencyLes flamants apprécient les endroits dégagés et plats. Cela leur permet à la fois de surveiller leurs prédateurs et d’avoir assez de place pour décoller si nécessaire. Le décollage est une phase délicate (plus risquée que l’atterrissage ci-contre). Ils battent des ailes et courent jusqu’à atteindre la vitesse suffisante pour leur envol. En l’air, ils peuvent atteindre la vitesse de 60 km/h.
Thierry Vezon / NaturagencyLe bec recourbé du flamant est «à l’envers» par rapport à celui d’un autre oiseau. Cette particularité lui permet, lorsqu’il a la tête en bas, de sonder le fond des marais et de filtrer l’eau pour ne retenir que sa nourriture, surtout des petits crustacés.
Thierry Vezon / NaturagencyThierry Vezon se consacre à la photographie de nature depuis 2004, en France et dans le Grand Nord. Spécialisé dans la photographie de la faune et de paysages, il consacre de très longues heures à l’affût, toujours dans le respect de la nature. Il s’est aussi spécialisé dans la photographie aérienne.
é Thierry Vezon / NaturagencyParade nuptiale: Au cœur de l’hiver débute la parade nuptiale des flamants, de longues séries de flexions dansantes, exécutées souvent en groupe.
Thierry Vezon / NaturagencyParade nuptiale: Au cœur de l’hiver débute la parade nuptiale des flamants, de longues séries de flexions dansantes, exécutées souvent en groupe.
Thierry Vezon / Naturagency