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Les lauréats du Swiss Press Photo 2023 dans la catégorie «Histoires Suisses»

Le Swiss Press Photo a révélé ce mercredi 5 avril les lauréats de son édition 2023. Découvrez les images qui ont séduit le jury dans la catégorie «Histoires Suisses».

12 Photos
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
La Suisse emploie des détectives officiels pour les déchets afin de démasquer les contrevenants des ordures

Éliminer les déchets a un coût. C’est pourquoi, une partie des déchets est déversée illégalement, comme ici à Bâle, sur un chantier, ou encore dans un passage peu visible. La ville emploie des inspecteurs·trices officiel·le·s habilité·e·s à délivrer des amendes. Les «agents de la police des déchets» constatent régulièrement que les sacs contiennent également des matériaux recyclables, qui peuvent pourtant être éliminés gratuitement.

© Eleni Kougionis / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Les hommes sont des descendants des familles allemandes Krull et S(ch)ulz. Cependant, tous les habitant·e·s ont (également) des origines africaines: en effet, peu après leur établissement, les colons ont commencé à utiliser des esclaves dans les plantations de café.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Les hommes sont des descendants des familles allemandes Krull et S(ch)ulz. Cependant, tous les habitant·e·s ont (également) des origines africaines: en effet, peu après leur établissement, les colons ont commencé à utiliser des esclaves dans les plantations de café.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Les hommes sont des descendants des familles allemandes Krull et S(ch)ulz. Cependant, tous les habitant·e·s ont (également) des origines africaines: en effet, peu après leur établissement, les colons ont commencé à utiliser des esclaves dans les plantations de café.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Les hommes sont des descendants des familles allemandes Krull et S(ch)ulz. Cependant, tous les habitant·e·s ont (également) des origines africaines: en effet, peu après leur établissement, les colons ont commencé à utiliser des esclaves dans les plantations de café.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Les hommes sont des descendants des familles allemandes Krull et S(ch)ulz. Cependant, tous les habitant·e·s ont (également) des origines africaines: en effet, peu après leur établissement, les colons ont commencé à utiliser des esclaves dans les plantations de café.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Les hommes sont des descendants des familles allemandes Krull et S(ch)ulz. Cependant, tous les habitant·e·s ont (également) des origines africaines: en effet, peu après leur établissement, les colons ont commencé à utiliser des esclaves dans les plantations de café.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Sur cette photo, la jeune femme a été enduite d’huile pour un rituel d’initiation.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Hélvetica – une histoire coloniale Suisse

Le village d’Helvecia, dans le nord-est du Brésil, porte encore ce nom aujourd’hui parce que des émigrant·e·s suisses et allemand·e·s y ont fondé une colonie en 1818, sous le nom officiel de Leopoldine; Helvecia était un grand domaine appartenant à un Suisse nommé Flach. Sur cette photo, la jeune femme a été enduite d’huile pour un rituel d’initiation.

© Dom Smaz / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo
Les étrangers et étrangères en Suisse

La série de photos montre que, dans la perception de la population suisse, ils·elles n’existent simplement pas: ce sont les quelque 30’000 personnes d’Europe de l’Est qui travaillent dans nos champs. L’un d’eux est le Polonais Kamil W., 62 ans, qui aide un agriculteur à la récolte dans une ferme du Seeland bernois. Maintenant en octobre, par exemple, les betteraves à sucre sont mûres et dans la serre il y a aussi beaucoup à faire. Kamil W. gagne 3’300 francs par mois et, pour gagner cette somme, il doit travailler 55 heures par semaine. Il est ici depuis 13 ans, et pourtant il reste invisible.

© Klaus Petrus / Swiss Press Photo