Le reporter de guerre Alex Kühni a été le témoin des frappes de missiles sur Kharkiv en Ukraine.
© Alex Kühni / Swiss Press PhotoEn avril, le reporter de guerre Alex Kühni a capturé l’image d’habitant·e·s de Borodjanka devant un immeuble détruit.
© Alex Kühni / Swiss Press PhotoLe reporter de guerre Alex Kühni a photographié les corps de soldats russes qui, venus poser des mines, ont été surpris par les troupes ukrainiennes.
© Alex Kühni / Swiss Press PhotoLe reporter de guerre Alex Kühni a photographié l’évacuation des victimes de Butscha et Irpin.
© Alex Kühni / Swiss Press PhotoScènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Vue sur Izyum, ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZScènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Vue sur Izyum, ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZScènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine: un prédicateur conduit à travers Izyum, une ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZScènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. A Izyum, une ville durement touchée, 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZScènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Il n’y a ni électricité ni eau dans les bâtiments préfabriqués de Kivsharivka.
© Dominic Nahr / NZZScènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. A Kupiansk-Vuzlovy, les tournesols, qui n’ont pas pu être récoltés, se sont fanés (216).
© Dominic Nahr / NZZEntre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press PhotoEntre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press PhotoEntre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press PhotoEntre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
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