Dans sa maison de Bellach, à Soleure, l’écrivain Peter Bichsel parle de la mort. A 87 ans, Bichsel est à l’automne de sa vie. Fervent pessimiste, il envisage l’avenir avec inquiétude; ce n’est pas à sa propre mortalité qui le travaille, mais bien à celle des autres. Lorsque les journalistes l’interroge pour savoir si le problème de tout écrivain n’est pas de toujours chercher une dimension littéraire à la vie de tous les jours, il se souvient de son collègue, Max Frisch, à qui il a dit un jour: «Max, ce n’est pas pour les écrivains que les feuilles changent de couleur en automne».
© Karin Hofer / Swiss Press PhotoDans sa maison de Bellach, à Soleure, l’écrivain Peter Bichsel parle de la mort. A 87 ans, Bichsel est à l’automne de sa vie. Fervent pessimiste, il envisage l’avenir avec inquiétude; ce n’est pas à sa propre mortalité qui le travaille, mais bien à celle des autres. Lorsque les journalistes l’interroge pour savoir si le problème de tout écrivain n’est pas de toujours chercher une dimension littéraire à la vie de tous les jours, il se souvient de son collègue, Max Frisch, à qui il a dit un jour: «Max, ce n’est pas pour les écrivains que les feuilles changent de couleur en automne».
© Karin Hofer / Swiss Press PhotoDans sa maison de Bellach, à Soleure, l’écrivain Peter Bichsel parle de la mort. A 87 ans, Bichsel est à l’automne de sa vie. Fervent pessimiste, il envisage l’avenir avec inquiétude; ce n’est pas à sa propre mortalité qui le travaille, mais bien à celle des autres. Lorsque les journalistes l’interroge pour savoir si le problème de tout écrivain n’est pas de toujours chercher une dimension littéraire à la vie de tous les jours, il se souvient de son collègue, Max Frisch, à qui il a dit un jour: «Max, ce n’est pas pour les écrivains que les feuilles changent de couleur en automne».
© Karin Hofer / Swiss Press PhotoLes portraits font partie d’une collection sur les ancien·ne·s du village d’Arogno, dans le sud du Tessin. Avec l’exposition « Na vita integra » – toute une vie –, la commission de la culture a voulu créer un morceau de culture de la mémoire. René De Maria (né en 1924), Delia Sartori (1935), Enrichetta Runci (1921), Luciana Bernasconi (1929) et Poulette Pesciallo (1932), entre autres, ont été photographié·e·s, dans leurs maisons, avec un appareil analogique.
© Flavia Leuenberger / Swiss Press PhotoLes portraits font partie d’une collection sur les ancien·ne·s du village d’Arogno, dans le sud du Tessin. Avec l’exposition « Na vita integra » – toute une vie –, la commission de la culture a voulu créer un morceau de culture de la mémoire. René De Maria (né en 1924), Delia Sartori (1935), Enrichetta Runci (1921), Luciana Bernasconi (1929) et Poulette Pesciallo (1932), entre autres, ont été photographié·e·s, dans leurs maisons, avec un appareil analogique.
© Flavia Leuenberger / Swiss Press PhotoLes portraits font partie d’une collection sur les ancien·ne·s du village d’Arogno, dans le sud du Tessin. Avec l’exposition « Na vita integra » – toute une vie –, la commission de la culture a voulu créer un morceau de culture de la mémoire. René De Maria (né en 1924), Delia Sartori (1935), Enrichetta Runci (1921), Luciana Bernasconi (1929) et Poulette Pesciallo (1932), entre autres, ont été photographié·e·s, dans leurs maisons, avec un appareil analogique.
© Flavia Leuenberger / Swiss Press PhotoLes portraits font partie d’une collection sur les ancien·ne·s du village d’Arogno, dans le sud du Tessin. Avec l’exposition « Na vita integra » – toute une vie –, la commission de la culture a voulu créer un morceau de culture de la mémoire. René De Maria (né en 1924), Delia Sartori (1935), Enrichetta Runci (1921), Luciana Bernasconi (1929) et Poulette Pesciallo (1932), entre autres, ont été photographié·e·s, dans leurs maisons, avec un appareil analogique.
© Flavia Leuenberger / Swiss Press PhotoLes portraits font partie d’une collection sur les ancien·ne·s du village d’Arogno, dans le sud du Tessin. Avec l’exposition « Na vita integra » – toute une vie –, la commission de la culture a voulu créer un morceau de culture de la mémoire. René De Maria (né en 1924), Delia Sartori (1935), Enrichetta Runci (1921), Luciana Bernasconi (1929) et Poulette Pesciallo (1932), entre autres, ont été photographié·e·s, dans leurs maisons, avec un appareil analogique.
© Flavia Leuenberger / Swiss Press PhotoEn septembre, Ulrich Körner a été nommé «homme du mois» par le magazine économique «Bilanz». Depuis août, il est CEO du Groupe Credit Suisse alors en pleine crise. Fort d’une longue carrière dans de grandes banques, le manager germano-suisse est perçu comme déterminé et capable de s’imposer pour atteindre ses objectifs – pour certains investisseurs, il est l’homme de la dernière chance. Un espoir qui mourra six mois plus tard.
© Joseph Khakshouri / Swiss Press Photo