Les créatures qui habitent les grands fonds marins ont développé des capacités extraordinaires pour s’adapter à un environnement hostile.
8 Photos
Vivant à –1200 m, plongé dans le noir, l’éperlan-crayon («Xenophthalmichthys danae»), long de 10 cm, a les yeux plus gros que le ventre pour capter la bioluminescence.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Vivant à –1200 m, plongé dans le noir, l’éperlan-crayon («Xenophthalmichthys danae»), long de 10 cm, a les yeux plus gros que le ventre pour capter la bioluminescence.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
La carinaire de Lamarck, elle, est un escargot marin transparent dont la coquille (à gauche) contient et protège le gros de son système digestif et qui évolue entre la surface et –200 m.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
La carinaire de Lamarck, elle, est un escargot marin transparent dont la coquille (à gauche) contient et protège le gros de son système digestif et qui évolue entre la surface et –200 m.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
La loutène abyssale («Bathyteuthis abyssicola»), petit calmar dont le manteau ne dépasse pas 8 cm, peut vivre jusqu’à 4000 m de profondeur, mais on la trouve généralement entre –700 et –2000 m. Elle possède deux larges vésicules photosensibles derrière ses yeux.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
La loutène abyssale («Bathyteuthis abyssicola»), petit calmar dont le manteau ne dépasse pas 8 cm, peut vivre jusqu’à 4000 m de profondeur, mais on la trouve généralement entre –700 et –2000 m. Elle possède deux larges vésicules photosensibles derrière ses yeux.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Piège tendu entre –1000 et –2500 m, la baudroie à fouet femelle («Gigantactis gargantuai») attire ses proies avec un leurre bioluminescent au bout d'une très longue tige, qui est un rayon de nageoire modifié.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Piège tendu entre –1000 et –2500 m, la baudroie à fouet femelle («Gigantactis gargantuai») attire ses proies avec un leurre bioluminescent au bout d'une très longue tige, qui est un rayon de nageoire modifié.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Le bien nommé poisson-ogre («Anoplogaster cornuta») a les plus grandes dents du monde proportionnellement à sa taille qui n’est, heureusement, que de 16 cm. Il peut descendre jusqu’à –5000 m.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Le bien nommé poisson-ogre («Anoplogaster cornuta») a les plus grandes dents du monde proportionnellement à sa taille qui n’est, heureusement, que de 16 cm. Il peut descendre jusqu’à –5000 m.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Le poisonn-pêcheur fantôme, qui vit dans les trois plus grands océans, a la caractéristique d'avoir une peau dénuée de tout pigment.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Le poisonn-pêcheur fantôme, qui vit dans les trois plus grands océans, a la caractéristique d'avoir une peau dénuée de tout pigment.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Cette image de larve de baudroie a été prise entre -600 et -1000 mètres dans le Golfe du Mexique.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Cette image de larve de baudroie a été prise entre -600 et -1000 mètres dans le Golfe du Mexique.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Ce poisson-dragon ou «Bathophilus digitatus» a été prise dans le Golfe du Mexique entre -200 et -600 mètres.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto
Ce poisson-dragon ou «Bathophilus digitatus» a été prise dans le Golfe du Mexique entre -200 et -600 mètres.(c) Photo Researchers / Danté Fenolio / Biosphoto