A rebrousse-plume de la théorie de la sélection naturelle, les oiseaux, entre autres animaux, ont évolué en développant des livrées affriolantes potentiellement dangereuses pour leur survie. Et pourtant, ils vivent!
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Chefs-d’œuvre plumés. Paradisier magnifique mâle («Diphyllodes magnificus»), Nouvelle-Guinée; cotinga des Maynas («Cotinga maynana»), nord de l’Amérique du Sud; paradisier magnifique femelle («Diphyllodes magnificus»), Nouvelle-Guinée (de g. à dr.).Kenji Aoki/Art Department
Chefs-d’œuvre plumés. Paradisier magnifique mâle («Diphyllodes magnificus»), Nouvelle-Guinée; cotinga des Maynas («Cotinga maynana»), nord de l’Amérique du Sud; paradisier magnifique femelle («Diphyllodes magnificus»), Nouvelle-Guinée (de g. à dr.).Kenji Aoki/Art Department
Etoile filante. L’éblouissant paradisier petit-émeraude apparut à l’ornithologue français René Primevère-Lesson, premier Européen à l’avoir observé en 1824, comme «un météore dont la queue de feu laisse une traînée de lumière».Kenji Aoki/Art Department
Etoile filante. L’éblouissant paradisier petit-émeraude apparut à l’ornithologue français René Primevère-Lesson, premier Européen à l’avoir observé en 1824, comme «un météore dont la queue de feu laisse une traînée de lumière».Kenji Aoki/Art Department
Coq à l’orange. Une vibrante livrée vitaminée n’est pas le seul atout du coq de roche orange: pour emballer, ce montagnard sud-américain mise aussi sur sa huppe hérissée façon cimier de casque romain.Kenji Aoki/Art Department
Coq à l’orange. Une vibrante livrée vitaminée n’est pas le seul atout du coq de roche orange: pour emballer, ce montagnard sud-américain mise aussi sur sa huppe hérissée façon cimier de casque romain.Kenji Aoki/Art Department
Royal Rodgeur. En Nouvelle-Guinée, le paradisier royal, le plus petit des oiseaux de paradis, séduit en jouant des longues plumes de sa queue, dressées presque à la verticale, les raquettes vertes à leur extrémité émergeant au-dessus de sa tête.Kenji Aoki/Art Department
Royal Rodgeur. En Nouvelle-Guinée, le paradisier royal, le plus petit des oiseaux de paradis, séduit en jouant des longues plumes de sa queue, dressées presque à la verticale, les raquettes vertes à leur extrémité émergeant au-dessus de sa tête.Kenji Aoki/Art Department
Tant de nuances de bleu. Dans les forêts de leur tout petit royaume brésilien, les oiseaux manakins mâles à tête d’opale portent couronne.Kenji Aoki/Art Department
Tant de nuances de bleu. Dans les forêts de leur tout petit royaume brésilien, les oiseaux manakins mâles à tête d’opale portent couronne.Kenji Aoki/Art Department
Tête de moine. Capuchon noir, calotte marron, ailes barrées de blanc, l’asiatique brève à capuchon coiffe d’une austérité monacale un corps au plumage exubérant, émeraude à bedon rouge.Kenji Aoki/Art Department
Tête de moine. Capuchon noir, calotte marron, ailes barrées de blanc, l’asiatique brève à capuchon coiffe d’une austérité monacale un corps au plumage exubérant, émeraude à bedon rouge.Kenji Aoki/Art Department