Quand la princesse Lady Diana étudiait en suisse romande
La princesse Diana a séjourné en Suisse, à la fin des années 1970, à l’Institut Alpin Videmanette à Rougemont (VD), un pensionnat pour jeunes filles de bonne famille où elles apprenaient le français, la couture, la musique, la peinture ou encore l’économie domestique.

Championnats de ski sur les pistes des Monts-Chevreuils. Le sport était l’une des disciplines principales proposées par les pensionnats. Un championnat de ski avait alors lieu et chaque fille portait les couleurs de son école. Ici, Diana arbore fièrement son brassard numéro 23, portant du rouge, représentant l’Institut Alpin Videmanette. La princesse appréciait ces sorties hivernales.
Bridgeman Images
Championnats de ski sur les pistes des Monts-Chevreuils. Le sport était l’une des disciplines principales proposées par les pensionnats. Un championnat de ski avait alors lieu et chaque fille portait les couleurs de son école. Ici, Diana arbore fièrement son brassard numéro 23, portant du rouge, représentant l’Institut Alpin Videmanette. La princesse appréciait ces sorties hivernales.
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Funky Diana. Diana, 16 ans, ici dans une chambre, a fréquenté le pensionnat de 1977 à 1978. Le même institut a accueilli d’autres personnalités telles que la princesse Irène du Danemark et Tamara Mellon, cofondatrice de la marque de chaussures Jimmy Choo. En 1971, Sarah Spencer, sœur aînée de la future princesse de Galles, avait séjourné au Vieux Chalet, un autre pensionnat du Pays-d’Enhaut.
DR
Funky Diana. Diana, 16 ans, ici dans une chambre, a fréquenté le pensionnat de 1977 à 1978. Le même institut a accueilli d’autres personnalités telles que la princesse Irène du Danemark et Tamara Mellon, cofondatrice de la marque de chaussures Jimmy Choo. En 1971, Sarah Spencer, sœur aînée de la future princesse de Galles, avait séjourné au Vieux Chalet, un autre pensionnat du Pays-d’Enhaut.
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Quand la jeunesse dorée anglaise rencontre la fondue. Les pensionnats ne proposent pas que des sorties à skis et une éducation de qualité; ils offrent aussi une culture culinaire, que la princesse, ici à droite, et ses camarades semblent apprécier.
DR
Quand la jeunesse dorée anglaise rencontre la fondue. Les pensionnats ne proposent pas que des sorties à skis et une éducation de qualité; ils offrent aussi une culture culinaire, que la princesse, ici à droite, et ses camarades semblent apprécier.
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Les écoles pour jeunes filles. Les pensionnats, ici celui de la Videmanette, ont connu leur essor dans le Pays-d’Enhaut au cours du siècle dernier. La Sapinière est le premier des six à être ouvert en 1926 et, en 2000, le Vieux Chalet ferme ses portes, mettant un terme à cette tradition. Des témoignages racontent le mal-être de certaines jeunes filles, comme celui d’Eva Defago, dans «Les filles surgelées»: «Mes parents ont voulu me surgeler, comme un fruit de luxe. Et tout cela pour qu’au moment venu, ils puissent me marier, vierge et pure, à un imbécile de leur choix, pour leur propre gloire et leur propre avantage.»
DR
Les écoles pour jeunes filles. Les pensionnats, ici celui de la Videmanette, ont connu leur essor dans le Pays-d’Enhaut au cours du siècle dernier. La Sapinière est le premier des six à être ouvert en 1926 et, en 2000, le Vieux Chalet ferme ses portes, mettant un terme à cette tradition. Des témoignages racontent le mal-être de certaines jeunes filles, comme celui d’Eva Defago, dans «Les filles surgelées»: «Mes parents ont voulu me surgeler, comme un fruit de luxe. Et tout cela pour qu’au moment venu, ils puissent me marier, vierge et pure, à un imbécile de leur choix, pour leur propre gloire et leur propre avantage.»
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«Sweet» Adam. Ce cliché, pris en 1979 dans le Val Claret (F), sera publié dans la presse tout juste deux jours après les fiançailles entre Diana et Charles. Le jeune homme est Adam Russell, arrière-petit-fils de l’ex-ministre Stanley Baldwin. Diana et lui ont fait connaissance durant leurs vacances dans les Alpes françaises. Si certains parlent d’un amour de jeunesse, le biographe royal Andrew Morton explique qu’il s’agit d’une belle amitié née entre les deux jeunes Anglais. La presse anglaise racontera qu’Adam, à son retour en 1980, avait l’intention de courtiser la belle Diana, mais qu’il a renoncé, apprenant que son rival n’était autre que le prince du Pays de Galles.
The Mirror
«Sweet» Adam. Ce cliché, pris en 1979 dans le Val Claret (F), sera publié dans la presse tout juste deux jours après les fiançailles entre Diana et Charles. Le jeune homme est Adam Russell, arrière-petit-fils de l’ex-ministre Stanley Baldwin. Diana et lui ont fait connaissance durant leurs vacances dans les Alpes françaises. Si certains parlent d’un amour de jeunesse, le biographe royal Andrew Morton explique qu’il s’agit d’une belle amitié née entre les deux jeunes Anglais. La presse anglaise racontera qu’Adam, à son retour en 1980, avait l’intention de courtiser la belle Diana, mais qu’il a renoncé, apprenant que son rival n’était autre que le prince du Pays de Galles.
The Mirror
Vie sociale. Les jeunes pensionnaires ont aussi contribué à animer la vie sociale de Rougemont et ses environs en allant au cinéma, faire du patin, regarder un match de hockey ou comme ici (Diana et ses amis) danser et s’amuser au bar du Grand Hôtel ou au Striffeler.
Bridgeman Images
Vie sociale. Les jeunes pensionnaires ont aussi contribué à animer la vie sociale de Rougemont et ses environs en allant au cinéma, faire du patin, regarder un match de hockey ou comme ici (Diana et ses amis) danser et s’amuser au bar du Grand Hôtel ou au Striffeler.
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Derrière les sourires, le blues Si la jeune Diana Spencer semble avoir toujours le sourire sur ces clichés, en réalité elle souffrait du mal du pays. En décembre 1978, elle avoue dans une lettre à sa nounou, Mary Clarke, qu’elle détestait fréquenter le pensionnat et que le ski était la seule activité qu’elle aimait.
Facebook/The Princess Diana Museum
Derrière les sourires, le blues Si la jeune Diana Spencer semble avoir toujours le sourire sur ces clichés, en réalité elle souffrait du mal du pays. En décembre 1978, elle avoue dans une lettre à sa nounou, Mary Clarke, qu’elle détestait fréquenter le pensionnat et que le ski était la seule activité qu’elle aimait.
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