«Restez chez vous... et créatifs!»: gagnants et coups de cœur
Vous avez été une centaine à participer à notre concours photo sur le thème «Restez chez vous... et créatifs!». Et votre créativité a été si prolifique que nous avons choisi de publier une quinzaine de vos images. Félicitations!

Prix du jury: «Maman les p'tits bateaux» de Morgane Coeytaux, 28 ans, Lausanne. «Cette image a été prise sur la table de ma cuisine, le 11 mai 2020. C’est en observant un masque posé sur la table que cela m’a fait penser à des vagues. J’ai trouvé poétique de transformer cet objet a priori anxiogène en une idée d’évasion, surtout en cette période. Etant éducatrice de l’enfance, j’ai eu l’envie de me plonger dans un univers enfantin et d’en faire un bricolage. La photo a été réalisée sans trucage, sans filtre ni effet Photoshop et en lumière naturelle. J’ai utilisé un Nikon D810»

Prix du jury: «Maman les p'tits bateaux» de Morgane Coeytaux, 28 ans, Lausanne. «Cette image a été prise sur la table de ma cuisine, le 11 mai 2020. C’est en observant un masque posé sur la table que cela m’a fait penser à des vagues. J’ai trouvé poétique de transformer cet objet a priori anxiogène en une idée d’évasion, surtout en cette période. Etant éducatrice de l’enfance, j’ai eu l’envie de me plonger dans un univers enfantin et d’en faire un bricolage. La photo a été réalisée sans trucage, sans filtre ni effet Photoshop et en lumière naturelle. J’ai utilisé un Nikon D810»

Prix du public: «Triptyque par temps bleu», de Charlotte Hofer, 22 ans, Sainte-Croix (VD). «La photo a été réalisée à Sainte-Croix, où je suis étudiante en formation préprofessionnelle à l’école de cirque Le Zarti’Cirque. Nous n’avions plus accès à nos salles d’entraînement et nous avons dû trouver des solutions, à intérieur ou à l’extérieur selon la météo, toujours dans la bonne humeur. Nous trois suivons la même formation et vivons en colocation.» Photo prise avec un Sony Alpha 77, grand angle, légèrement modifiée sur Lightroom.»

Prix du public: «Triptyque par temps bleu», de Charlotte Hofer, 22 ans, Sainte-Croix (VD). «La photo a été réalisée à Sainte-Croix, où je suis étudiante en formation préprofessionnelle à l’école de cirque Le Zarti’Cirque. Nous n’avions plus accès à nos salles d’entraînement et nous avons dû trouver des solutions, à intérieur ou à l’extérieur selon la météo, toujours dans la bonne humeur. Nous trois suivons la même formation et vivons en colocation.» Photo prise avec un Sony Alpha 77, grand angle, légèrement modifiée sur Lightroom.»

Mention spéciale du jury: «Réouverture de la place de jeu dans ma cuisine», de Michel Martin, 56 ans, Penthalaz (VD). «Cette photo a été réalisée dans ma cuisine le 29 avril 2020, pour un mini-concours d'un de mes clubs photos (Azimut). J'avais en tête depuis longtemps cette photo, le confinement m’a permis de la faire aboutir. Celle-ci a été réalisée avec un Canon 5 DmkIV et le 35 mm art de Sigma en lumière naturelle avec trépied.»

Mention spéciale du jury: «Réouverture de la place de jeu dans ma cuisine», de Michel Martin, 56 ans, Penthalaz (VD). «Cette photo a été réalisée dans ma cuisine le 29 avril 2020, pour un mini-concours d'un de mes clubs photos (Azimut). J'avais en tête depuis longtemps cette photo, le confinement m’a permis de la faire aboutir. Celle-ci a été réalisée avec un Canon 5 DmkIV et le 35 mm art de Sigma en lumière naturelle avec trépied.»

«I miss the surf», de Yoanna Finaud, 32 ans, Préverenges (VD): «Me voilà confinée dans mon petit appartement, mon surf trip à l’étranger annulé, un petit coup d’œil à mon drap bleu me fait penser à l’océan, et hop, j’enfile ma combinaison et saute sur ma planche, histoire de m’évader...»

«I miss the surf», de Yoanna Finaud, 32 ans, Préverenges (VD): «Me voilà confinée dans mon petit appartement, mon surf trip à l’étranger annulé, un petit coup d’œil à mon drap bleu me fait penser à l’océan, et hop, j’enfile ma combinaison et saute sur ma planche, histoire de m’évader...»

«Ego-Histoire#1», de Jean-François Delamarre, 47 ans, Belmont-sur-Lausanne (VD): «Mon image répond à un sentiment d’ennui et au manque d’amitié durant ce confinement. Pour pallier cela, je me suis inventé un personnage qui est mon double jumeau, l’ami parfait qui partage mon quotidien et allège ce sentiment de solitude.»

«Ego-Histoire#1», de Jean-François Delamarre, 47 ans, Belmont-sur-Lausanne (VD): «Mon image répond à un sentiment d’ennui et au manque d’amitié durant ce confinement. Pour pallier cela, je me suis inventé un personnage qui est mon double jumeau, l’ami parfait qui partage mon quotidien et allège ce sentiment de solitude.»

«Confinement, entre rêve et réalité», de Sofia Rodriguez, 53 ans, Grandson (VD) «L’impression permanente d’être plongée dans un songe, dans une autre dimension. J’ai ressenti ça comme un appel à la créativité. C’est de là que m’est venue l’idée d’utiliser le sténopé, une technique de photo ancestrale, un retour aux bases nécessaires pour m’ancrer dans la réalité du rêve éveillé dans lequel j’avais été plongée malgré moi.»

«Confinement, entre rêve et réalité», de Sofia Rodriguez, 53 ans, Grandson (VD) «L’impression permanente d’être plongée dans un songe, dans une autre dimension. J’ai ressenti ça comme un appel à la créativité. C’est de là que m’est venue l’idée d’utiliser le sténopé, une technique de photo ancestrale, un retour aux bases nécessaires pour m’ancrer dans la réalité du rêve éveillé dans lequel j’avais été plongée malgré moi.»

«Bon Jovi Project», de Marie Léchot, 27 ans, Neuchâtel: «Tout a commencé par une ressemblance capillaire. J’ai réalisé que j’avais des cheveux dignes (ou presque) d’une star de rock. Le confinement ayant comme effet sur moi de libérer ma créativité, j’ai entrepris de recréer plan par plan le clip de Bon Jovi «Livin' on a Prayer» dans mon salon.»

«Bon Jovi Project», de Marie Léchot, 27 ans, Neuchâtel: «Tout a commencé par une ressemblance capillaire. J’ai réalisé que j’avais des cheveux dignes (ou presque) d’une star de rock. Le confinement ayant comme effet sur moi de libérer ma créativité, j’ai entrepris de recréer plan par plan le clip de Bon Jovi «Livin' on a Prayer» dans mon salon.»

«Keep calm and stay at home», de Nicolas Ischer, 31 ans, Pully (VD): «Il m’est apparu opportun d’apporter ma contribution et de démontrer ma solidarité en délivrant un message de soutien, avec panache et bienveillance, sous la forme d’un autoportrait. J’ai donc opté pour un «lockdown autoportrait» frontal et intimiste avec un regard franc et direct. Un appel à l’apaise- ment, à la réflexion et à la solidarité, en somme.»

«Keep calm and stay at home», de Nicolas Ischer, 31 ans, Pully (VD): «Il m’est apparu opportun d’apporter ma contribution et de démontrer ma solidarité en délivrant un message de soutien, avec panache et bienveillance, sous la forme d’un autoportrait. J’ai donc opté pour un «lockdown autoportrait» frontal et intimiste avec un regard franc et direct. Un appel à l’apaise- ment, à la réflexion et à la solidarité, en somme.»

«Bronzer au temps du confinement», de Maria Bonacci 51 ans, Genève: «La photo a été prise dans mon quartier, les Pâquis, à Genève. J’étais sortie faire les courses et j’avais vu cette personne qui avait décidé qu’elle allait bronzer malgré tout: l’être humain s’adapte à toute circonstance! Une fenêtre peut devenir un balcon, un parc... On fait avec ce qu’on a et on ne se rend jamais: une vraie leçon de vie.»

«Bronzer au temps du confinement», de Maria Bonacci 51 ans, Genève: «La photo a été prise dans mon quartier, les Pâquis, à Genève. J’étais sortie faire les courses et j’avais vu cette personne qui avait décidé qu’elle allait bronzer malgré tout: l’être humain s’adapte à toute circonstance! Une fenêtre peut devenir un balcon, un parc... On fait avec ce qu’on a et on ne se rend jamais: une vraie leçon de vie.»

«Le Cri», par Francine Perrin, 68 ans, Epalinges (VD). «En posant par hasard trois rouleaux de PQ sur une table, sans doute influencée par le climat anxiogène de ces temps de confinement, j’y ai vu Le cri de Munch. Cela m’a amusée de reproduire ce tableau en plaçant ces trois rouleaux de PQ bien au centre, comme un symbole ironique du stress ambiant.»

«Le Cri», par Francine Perrin, 68 ans, Epalinges (VD). «En posant par hasard trois rouleaux de PQ sur une table, sans doute influencée par le climat anxiogène de ces temps de confinement, j’y ai vu Le cri de Munch. Cela m’a amusée de reproduire ce tableau en plaçant ces trois rouleaux de PQ bien au centre, comme un symbole ironique du stress ambiant.»

«La famille Mentons», de Evi Lurati Renner & Co, Le Mont-sur-Lausanne (VD): «Le 1er avril, nos deux enfants de 10 et 12 ans nous ont fait une blague en collant des yeux mobiles sur tous les aliments au frigo. Et l’idée est née: si on colle des yeux mobiles au menton et qu’on regarde le résultat à l’envers, on voit des personnages hyper-drôles. On a tellement ri!»

«La famille Mentons», de Evi Lurati Renner & Co, Le Mont-sur-Lausanne (VD): «Le 1er avril, nos deux enfants de 10 et 12 ans nous ont fait une blague en collant des yeux mobiles sur tous les aliments au frigo. Et l’idée est née: si on colle des yeux mobiles au menton et qu’on regarde le résultat à l’envers, on voit des personnages hyper-drôles. On a tellement ri!»

«Solidarité malgré la distance», de Noé Boillat, Cormondrèche (NE).

«Solidarité malgré la distance», de Noé Boillat, Cormondrèche (NE).

«Escapade nocturne sur les toits», de Jun Le Pechoux, Carouge (GE).

«Escapade nocturne sur les toits», de Jun Le Pechoux, Carouge (GE).

«Semis... confinés», de Sophie Martin-Gadzina, Vufflens-la-Ville (VD).

«Semis... confinés», de Sophie Martin-Gadzina, Vufflens-la-Ville (VD).