Sur le col du Tsaté, à 2867 mètres d’altitude, dans le val d’Hérens, en Valais. Avec leur endurance, leur carrure robuste et leurs sabots qui leur permettent d’évoluer facilement sur la glace ou sur des pentes raides, les yaks sont taillés pour la montagne.
René RuisDépart de la Remointse du Tsaté après une nuit au campement. Durant le trek, ce sont les yaks qui portent les bagages. Mais attention, pas question de dépasser une certaine charge. Aussi, on n’emporte que le minimum nécessaire.
René RuisAvec le glacier de Moiry (2400- 3800 mètres d’altitude) en arrière-plan, en route vers la deuxième étape du trek.
René RuisDescente du col de Torrent. Le yak est à l’aise dans des pentes abruptes et difficilement exploitables par les autres ruminants.
René RuisLe yak est un grand ruminant originaire des hauts plateaux de l’Himalaya, où il vit entre 3000 et 5000 mètres d’altitude.
René RuisA 2916 mètres au-dessus du niveau de la mer. Dernière étape du périple, le col de Torrent, situé entre les municipalités d’Evolène et de Grimentz.
René RuisUne vie avec les yaks. Rosula Blanc est une pionnière de l’élevage de yaks en Europe. En 2016, elle publie «Avec trois yaks vers la mer», un bel ouvrage qui raconte sa traversée des Alpes pour relier Evolène à Menton.
René RuisUne pause de midi bien méritée au bord du lac de la Bayenna (2548 mètres d’altitude). Durant l’expédition, on se régale de mets simples concoctés sur des réchauds de camping à base de produits locaux.
René RuisDormir à la belle étoile à côté des yaks à 2686 mètres d’altitude. Après une longue journée de marche, on campe au bord du lac des Autannes et on profite d’une voûte céleste à couper le souffle.
René Ruis