Les membres du groupe des secouristes suisses, accompagnés de leurs chiens, avant leur départ de Turquie, où ils sont restés pendant une semaine.
Michael Fichter/EDABenjamin Tissot-Daguette, membre de la Chaîne suisse de sauvetage, et son chien Fantasio fouillent les décombres à la recherche de survivants. Ils sont mobilisés dans la province de Hatay en Turquie.
Michael Fichter/EDALes secouristes et les chiens ont aussi besoin de repos. A leur base arrière, les cages des chiens sont protégées contre le froid. Le matériel y est également stocké, notamment les épontilles permettant de stabiliser les brèches où ils s’engouffrent dans les décombres.
Michael Fichter/EDAYassine, jeune syrien, a demandé l’aide des secouristes suisses pour sauver sa famille prise au piège depuis trois jours sous 9 mètres de gravats. Cette famille syrienne avait fui la guerre en s’installant en Turquie, dans la province de Hatay. Les sauveteurs se sont fiés aux cris de la famille piégée pour la libérer des décombres.
Michael Fichter/EDALes sauvetages se sont poursuivis durant la nuit.
Michael Fichter/EDAA Kahramanmaras, les immeubles effondrés prennent l’allure de véritables millefeuilles de béton. Ces étages empilés forment des poches d’air qui permettent aux personnes coincées de résister plus longtemps. Mais les chances de survie diminuent fortement après cent heures.
Suhaib Salem/Reuters