La tendance avait été amorcée dès l’Ascension. Covid-19 oblige, très nombreux sont les habitants de Suisse restés au pays. Et qui filent là-haut sur la montagne prendre un bol d’air. L’affluence indigène dans les Alpes, qui a bondi de 37%, devrait permettre de sauver la saison estivale. Mais elle se révèle aussi source de tensions tant certains sites sont pris d’assaut.
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Foule dans les Alpes bernoises, au-dessus d’Erlenbach. La clientèle helvétique a bondi de 37% dans les Alpes. Le tourisme étranger a, lui, chuté de 44%.Anex Anthony
Foule dans les Alpes bernoises, au-dessus d’Erlenbach. La clientèle helvétique a bondi de 37% dans les Alpes. Le tourisme étranger a, lui, chuté de 44%.Anex Anthony
A la redécouverte du mythe. Au plus fort de la pandémie, le Cervin a été illuminé de messages d’espoir qui ont fait le tour du monde. En attendant le retour des touristes asiatiques, ce sont les habitants du pays, ici le 5 août à Zermatt dans la file d’attente pour le Gornergrat Bahn, qui les remplacent.JEAN-CHRISTOPHE BOTT
A la redécouverte du mythe. Au plus fort de la pandémie, le Cervin a été illuminé de messages d’espoir qui ont fait le tour du monde. En attendant le retour des touristes asiatiques, ce sont les habitants du pays, ici le 5 août à Zermatt dans la file d’attente pour le Gornergrat Bahn, qui les remplacent.JEAN-CHRISTOPHE BOTT
Fragile panorama. En temps «normal», le Creux-du-Van (NE) attire chaque année quelque 100000 visiteurs, essentiellement venus de Suisse. Cet été, ils devraient être encore plus nombreux. Or, la fragile biodiversité du site est mise à mal par la fréquentation humaine.JEAN-CHRISTOPHE BOTT
Fragile panorama. En temps «normal», le Creux-du-Van (NE) attire chaque année quelque 100000 visiteurs, essentiellement venus de Suisse. Cet été, ils devraient être encore plus nombreux. Or, la fragile biodiversité du site est mise à mal par la fréquentation humaine.JEAN-CHRISTOPHE BOTT
Collés serrés dans les «Maldives suisses». Le Tessin gère non sans mal l’afflux de visiteurs, ici le 25 juillet dans le Val Verzasca.Alessandro Crinari
Collés serrés dans les «Maldives suisses». Le Tessin gère non sans mal l’afflux de visiteurs, ici le 25 juillet dans le Val Verzasca.Alessandro Crinari
Fantômes masqués. Les escapades ne permettent pas d’oublier complètement la pandémie, comme le 20 juillet aux Diablerets.Laurent Gillieron
Fantômes masqués. Les escapades ne permettent pas d’oublier complètement la pandémie, comme le 20 juillet aux Diablerets.Laurent Gillieron
L’agonie du glacier. Ils sont des centaines chaque jour à débourser 9 francs pour visiter la grotte de glace, rouverte mi-juillet, du glacier du Rhône, au fond du Valais. La découverte des bâches visant à freiner l’inexorable fonte du glacier est pour certains une mauvaise surprise.URS FLUEELER
L’agonie du glacier. Ils sont des centaines chaque jour à débourser 9 francs pour visiter la grotte de glace, rouverte mi-juillet, du glacier du Rhône, au fond du Valais. La découverte des bâches visant à freiner l’inexorable fonte du glacier est pour certains une mauvaise surprise.URS FLUEELER
La grande inconnue. L’affluence, ici le funiculaire du Gelmerbahn au-dessus de Guttannen (BE) le 2 août, réjouit les professionnels de la branche.Peter Klaunzer
La grande inconnue. L’affluence, ici le funiculaire du Gelmerbahn au-dessus de Guttannen (BE) le 2 août, réjouit les professionnels de la branche.Peter Klaunzer
Prendre de la hauteur. A 2090 mètres d’altitude, le lac Bleu d’Arolla, au fond du val d’Hérens, semble avoir échappé à la foule le 9 août.Valentin Flauraud
Prendre de la hauteur. A 2090 mètres d’altitude, le lac Bleu d’Arolla, au fond du val d’Hérens, semble avoir échappé à la foule le 9 août.Valentin Flauraud