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La vie des JOJ

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© sedrik nemeth

La vie des JOJ

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L’illustré a slalomé à Lausanne, mais surtout entre les étages du Vortex, la vraie star des JOJ 2020: un extraordinaire bâtiment rond, qui héberge le village olympique et son millier d’athlètes.

file78uf9o24cv8l12cdb2 — Comme tant de passants fascinés, des athlètes slovènes s’immortalisent devant le village olympique, le Vortex, à l’Université de Lausanne. Ce bâtiment de huit niveaux, d’un diamètre de 137 mètres et d’une hauteur de 27 mètres, sera dévolu aux étudiants dès septembre. © sedrik nemeth

file78uf9bbgakgx36p88gv — Même si rouler sur la coursive du bâtiment du Vortex est en principe interdit, Ocean Brown, 8 ans - qui accompagne sa soeur - a l’autorisation de s’y faire plaisir. Cette interminable spirale de 2,8 kilomètres est en effet en légère pente, un bonheur pour ce jeune prodige du skateboard. © sedrik nemeth

file78uf9b1r5rk3ly3edb8 — Après les JOJ, le Vortex aura une crèche, un restaurant et une salle polyvalente. Pensé comme un espace social, ses 712 appartements abritent 941 chambres. Soit le 11e hôtel d’Europe. © sedrik nemeth

file78uf9bakqzb2782jmgx — Petit extrait de cor des Alpes (les musiciens étaient également présents à la cérémonie d'ouverture) à la tombée de la nuit pour les athlètes. Histoire d'être dans l'ambiance helvétique. © sedrik nemeth

file78uf9ny4lwhr5zp4mgx — Directeur du village olympique, Sébastien Dauxerre, 49 ans, est à la tête d’un staff de neuf pros et d’une équipe de 500 bénévoles. © sedrik nemeth

file78uf9og9bbo9fxo888e — Au 7e étage, le skieur haïtien Mackenson Florindo, 17 ans, profite de la vue. C’est la première fois que son pays participe à des JOJ d’hiver. © sedrik nemeth

file78uf9nzcllj18q9xuleg — Petite partie de ping-pong pour se détendre après une journée marathon. © sedrik nemeth

file78uf9nyxe8llkcwv14j — Accompagnée par un moniteur, une jeune skieuse négocie la «Streif lausannoise»: la rue menant de la place Saint-François à la rue Centrale, qui n’avait jamais été à pareille fête. © sedrik nemeth

file78uf9ogf4josd0cilwi — Une foule compacte se presse au cœur du quartier du Flon, là où les médailles sont remises chaque soir aux couronnés du jour. Avec 135 000 billets réservés au 13 janvier rien que sur les épreuves indoor, ces Jeux sont déjà un formidable succès populaire. © sedrik nemeth

file78uf9nwiufcrfiecdb5 — Dimanche 12 janvier, 7h48, gare CFF de Lausanne. Comme tous les athlètes des JOJ, les Romands du ski-alpinisme Caroline Ulrich, médaillée d’or deux jours plus tôt, Thibe Deseyn (argent) et les jumeaux Thomas et Robin Bussard (or et argent) prennent les transports publics pour rejoindre les sites olympiques. © sedrik nemeth

file78uf9np4gfd168f7d8gv — Le 12 janvier, la skieuse de La Neuveville Amélie Klopfenstein reçoit l’or du géant, après avoir conquis l’or du super-G et le bronze du combiné. © sedrik nemeth

file78yy4k8g98m4yhed8wb — Les JOJ, ce sont aussi des épreuves qui se déroulent sur fond de paysage magnifique, comme ici à Saint-Moritz (GR). JEFF PACHOUD

file78yy4kan81411jngj8w8 — Comme dans les fenêtres d'un calendrier de l'Avent, les juges passent la tête de leur cabine des Tuffes (F) pour voir et noter les sauteurs à ski, en l'occurrence l'Estonien Markus Kagu. JEFF PACHOUD

file78yy4kkwa1i6su2d5pn — Des sommets témoins de la première victoire en ski-alpinisme de l'histoire de l'olympisme, celle de la Vaudoise Caroline Ulrich devant sa camarade Thibe Deseyn sur les pentes de Villars-sur-Ollon. GABRIEL MONNET

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