1. Home
  2. Publireportage
  3. Le Röstigraben n’existe pas!
Publireportage

Le Röstigraben n’existe pas!

«J’adore notre magasin.» Liliane Grundlehner se sent bien dans «son» Volg Corminboeuf.

Partager

Partager cet article

Une fois son apprentissage brillamment terminé, Liliane Grundlehner a décidé d’effectuer son perfectionnement chez Volg en Suisse romande. La jeune Thurgovienne s’est sentie immédiatement comme un poisson dans l’eau.

«Frais et sympa – Frisch und fründlich». Liliane Grundlehner incarne le slogan de Volg mieux que quiconque et c’est sans surprise que ses collègues et la clientèle du magasin Volg Corminboeuf ont immédiatement adopté la jeune femme de 19 ans. Liliane adore son nouveau lieu de vie même si elle ne comprend pas toujours tout. «J’explique alors aux gens que je ne parle pas encore très bien le français et leur demande de parler plus lentement. La plupart réagissent avec bienveillance.»

Pendant la pause, Liliane lit «L’Illustré», le dictionnaire toujours prêt à l’emploi. «Il est pour l’instant encore mon plus fidèle compagnon.»

Du magasin miniature à la meilleure apprentie

A l’école professionnelle, l’enseignante de français de Liliane lui a suggéré de combiner la suite de sa formation à un séjour linguistique une fois qu’elle aurait terminé son apprentissage. «J’ai quand même pris le temps d’être certaine de vouloir vraiment faire ça. Je n’avais encore jamais séjourné aussi longtemps loin de chez moi», explique la gestionnaire de commerce de détail originaire d’Altnau dans le canton de Thurgovie. «Je me suis vite rendu compte que je souhaitais tenter l’expérience.» D’autant plus qu’elle a toujours aimé le français. Presque autant que son métier.

Haute comme trois pommes, Liliane adorait jouer à la vendeuse dans son petit magasin pour enfant. En troisième année scolaire, elle savait: «Je veux travailler chez Volg.» Elle avait déjà en tête le magasin où elle avait l’habitude d’aller avec sa mère et pouvait choisir un yaourt, «le plus souvent un Cristallina à la fraise.» L’été dernier, Liliane a effectivement terminé son apprentissage de trois ans comme gestionnaire de commerce de détail dans «son» Volg Altnau. Elle a même décroché, avec sa note de 5,8, le titre de meilleure apprentie Volg de Suisse. «Ça m’a quand même étonnée», avoue Liliane. Même si les bons résultats scolaires ont toujours été importants pour elle, elle avoue avec un sourire: «Obtenir mon diplôme avec une moyenne de 5,3 m’aurait suffi.»

Liliane fait l’inventaire avec Bruno Meuwly, le directeur régional des ventes et Sylvie Waeber, la gérante du magasin (à dr.)

Aucun mal du pays

Quoi qu’il en soit, cette excellente moyenne lui a permis d’être acceptée dans le programme de promotion de la relève de Volg, qui la soutient dans la suite de sa formation pour devenir gérante de magasin Volg. Pour le moment, elle suit toujours les cours en allemand. «Le but est de pouvoir, aussi vite que possible, les suivre en français.» Une fois par semaine, Liliane prend des cours particuliers, entre les deux, elle travaille à la maison ou pendant les pauses. «Quand je ne comprends pas quelque chose, je le note et demande à mon enseignante de me l’expliquer.»

Liliane n’a pas vraiment découvert le fameux Röstigraben. «Existe-t-il vraiment?» se demande-t-elle. La seule chose qui lui semble différente, c’est que «les Romands sont peut-être plus ouverts que les Suisses alémaniques. Ils se lient plus rapidement d’amitié.» Pour quelqu’un comme Liliane, c’est vraiment simple, observe Sylvie Waeber, la responsable de la jeune femme. «Elle est très curieuse et mûre pour son âge. Nous sommes très heureux de l’avoir parmi nous.» Liliane est quasiment déjà familiarisée avec son nouveau quotidien, même si son français n’est pas encore parfait, et elle n’a encore jamais ressenti le mal du pays. Quels sont ses projets une fois sa formation terminée? «Je m’imagine très bien rester ici.»

 

Toutes les informations  sur les diverses formations et opportunités de carrière chez Volg: www.volg.ch/apprentissage
 


 

publié le 18 janvier 2021 - 21:56