L’épéiste suisse MAX HEINZER tire depuis des années au plus haut niveau mondial. Il ne lui manque qu’un titre olympique. Malgré l’annulation des Jeux 2020, ce père de famille voit l’avenir avec confiance. Il explique pourquoi le SUV haute performance JAGUAR F-PACE cadre parfaitement avec son talent offensif.
Publireportage par Jaguar
Il n’existe guère de sport où il est plus difficile de glaner une médaille olympique que l’escrime. Max Heinzer, 32 ans, en sait quelque chose. L’épéiste suisse, l’un des meilleurs du monde, a participé aux Jeux olympiques à deux reprises, en 2012 à Londres et en 2016 à Rio. Il y a été éliminé prématurément, à chaque fois par le futur champion olympique. «L’épreuve individuelle est sans pitié. Trente-deux escrimeurs sont en lice, 20 à 25 peuvent viser une médaille», estime Heinzer. L’escrime ne paie pas: tous les assauts du tournoi se déroulent en une seule journée, lors de duels à élimination directe. Le perdant disparaît immédiatement. «Tout doit être parfait ce jour-là. Cela dit, je sais que je peux battre n’importe quel épéiste au monde. L’or des JO 2020 aurait été dans mes cordes.» Heinzer s’exprime au conditionnel, un mode en vigueur dans le monde entier en ce moment. Contre un adversaire comme le coronavirus, même le meilleur épéiste n’aurait aucune chance.
”L’AGILITÉ ET LA PUISSANCE SONT IMPORTANTES EN ESCRIME. ELLES CORRESPONDENT AUSSI À L’ESPRIT JAGUAR“
A la nouvelle de l’annulation des Jeux, sa déception a été énorme, même si sa participation aux JO au Japon n’était pas encore acquise. «Début avril, le tournoi de Buenos Aires devait en décider. Ma sélection pour Tokyo était à ma portée.» Malgré la désillusion, Heinzer comprend le report des Jeux à l’été 2021: «Dans ce contexte, l’annulation est sûrement la meilleure option. Il y a hélas, actuellement, des réalités plus importantes que le sport.» Le Suisse espère néanmoins que le travail acharné de ces derniers mois n’aura pas été vain et qu’il n’aura pas à repartir de zéro, notamment en ce qui concerne les modalités de qualification. «Rien n’est encore réglé.» Il apprécie donc d’avoir à ses côtés des partenaires solides, notamment un sponsor tel que Jaguar. La voiture de service de Heinzer est pour l’heure le SUV haute performance F-PACE. Ce modèle s’affirme sur route avec un art de la performance qui rejoint celui de l’escrimeur de 32 ans sur une planche (la piste dans le jargon de l’escrime).
LES LIGNES CLAIRES de son capot sculpté, le power dome, le design d’un profil aérodynamique élégant ainsi que les lignes arrière uniques confèrent à la Jaguar F-PACE un raffinement sans pareil. La gamme de moteurs disponibles pour ce SUV avec l’ADN d’une voiture de sport est parfaitement adaptée: le choix de motorisation en aluminium intégral à faibles frictions, 4 et 6 cylindres, va des turbocompresseurs diesel redoutablement efficaces, avec des performances de 163 et 300 ch en ne consommant que 7,0 l/100 km, aux puissants moteurs à essence. Son meilleur chrono est de 6,1 secondes pour passer de 0 à 100 km/h. Le moteur à essence 6 cylindres de 3 litres ronronne aussi sous le capot de la voiture de fonction de Max Heinzer. Le sportif de haut niveau en est fort satisfait. «Ma façon de conduire correspond à mes aptitudes d’escrimeur: mon style de mobilité est orienté vers l’offensive, comme la Jaguar», dit-il en souriant. Il ose une autre comparaison: «La précision, l’agilité et la puissance sont importantes en escrime. Elles correspondent à l’esprit Jaguar. C’est pourquoi j’apprécie particulièrement le châssis et la suspension du F-PACE.» Est-ce parce que ces parties du SUV proviennent à l’origine de la voiture de sport F-TYPE de Jaguar et qu’elles ont été développées pour le concept du F-PACE?
Si Max Heinzer a de bons souvenirs des expériences faites dès le début de sa collaboration avec Jaguar, d’autres caractéristiques entrent en ligne de compte pour un SUV de cette classe: «Le F-PACE peut être conduit de manière très sportive, c’est génial. Le confort de conduite ne laisse cependant rien à désirer, surtout lors de longs trajets. J’aime beaucoup cela.» Aussi satisfait que soit Max Heinzer de son F-PACE «personnel», le modèle qu’il pilote lors de notre reportage photo lui en impose. Pas étonnant: il s’agit de la version haut de gamme du SUV premium, le F-PACE SVR, reconnaissable à son allure , notamment avec ses prises d’air encore plus grandes et un système d’échappement sport à quatre sorties, techniquement le summum de ce que les ingénieurs de la division Special Vehicle Operations de Jaguar ont pu tirer du SUV. Cette sportive, qui possède la polyvalence d’un SUV, délivre 550 ch et 680 Nm du puissant compresseur V8 de 5 litres, une puissance utile qu’elle transmet aux jantes en alliage forgé allant jusqu’à 22 pouces. Comme le SVR, pratiquement tous les modèles de la série F-PACE sont disponibles en version transmission intégrale, bénéficiant des décennies de savoir-faire en la matière de la marque sœur de Jaguar, Land Rover. Libérant toute sa puissance, le F-PACE SVR passe de 0 à 100 km/h en seulement 4,3 secondes, pouvant atteindre une vitesse de pointe de 280 km/h.
Autant Max Heinzer aime la vitesse et la précision, autant d’autres éléments sont devenus peu à peu essentiels pour lui. «Depuis la naissance de notre fils, Mael, il y a deux ans, nous avons besoin d’une voiture ayant plus d’espace. La Jaguar F-PACE en offre beaucoup.» Avant même d’être papa, Max était heureux de pouvoir caser sans problème son encombrant équipement d’escrime ou... de pêche – Heinzer est un pêcheur passionné – dans le F-PACE. Avec sa progéniture, l’espace requis augmente, ainsi que le besoin de sécurité. «Je me souviens du moment où je suis allé chercher mon épouse, Janique, et notre petit Mael à l’hôpital. Jamais encore, je n’avais conduit aussi prudemment!» Heinzer ne peut désormais plus se passer de toutes les aptitudes sécuritaires de la Jaguar F-PACE, tel le contrôle de progression toutes surfaces qui, associé au guidage en ligne, permet même à ce SUV de luxe de rouler de manière autonome à un moment donné.
”JE NE PEUX PLUS ME PASSER DU CONFORT ET DE LA SÉCURITÉ QU’OFFRE LA JAGUAR F-PACE“
Ce père de famille sera de nouveau au volant avec une attention redoublée: les Heinzer attendent leur deuxième enfant pour le mois d’août. La perspective d’un nouveau Heinzer junior l’emplit de joie: «La naissance est prévue pour le 8 août, une semaine après l’autre grand moment qu’aurait dû être la journée de l’épée masculine aux Jeux de Tokyo.» Bon côté de la crise liée au coronavirus: il pourra certainement assister à l’accouchement. «J’entends profiter de ces instants avec ma famille. Je les passe de manière inattendue à la maison.» Il envisage très positivement l’après-pandémie: «L’or olympique n’a jamais été ma vraie motivation de sportif. Ce que j’ai toujours voulu, c’était surtout de pouvoir me battre durablement au sommet de la hiérarchie mondiale.» Avec au total 17 médailles récoltées lors de Mondiaux ou d’Européens et 17 victoires en Coupe du monde, en épée individuelle et en équipe, il y est parvenu. C’est pourquoi il entend tout de même se fixer les Jeux olympiques pour objectif en 2021. «Et peut-être même les JO suivants, insiste-t-il. J’ai 32 ans. Si, avec l’âge, on ne devient pas plus agile, on acquiert plus d’expérience et de force mentale, deux facteurs extrêmement importants dans mon sport. Tant que je peux suivre, je ne vois aucune raison d’arrêter. Je peux m’imaginer que les Jeux olympiques de Tokyo ne seront pas les derniers pour moi.»